Yves Porteix, maire de Sorède, accompagné de son Conseil Municipal, du Conseil Municipal des Enfants (CME), des Anciens combattants, des représentants de la gendarmerie et des pompiers, a prononcé le traditionnel discours* du 14 juillet après avoir déposé une gerbe aux monuments aux Morts
Place de la République, en ces moments difficiles, il a appelé toutes les Sorédiens et tous les Sorédiens à rester plus forts et plus unis, au sein de la Nation Française, et plus particulièrement, à faire corps pour Sorède.
Après avoir exposé les projets et réalisations du village, il a terminé son discours, « fidèle en ce jour au Petit Prince de Saint Exupéry, dont la poésie et la lucidité naïve pourraient être notre boussole commune :
« Qu’est-ce que signifie « apprivoiser » ? demanda le petit prince. – C’est une chose trop oubliée, dit le renard, ça signifie créer des liens. » Ce lien, nous l’avons, prenons-en soin, renforçons le pour faire de Sorède non pas un village, mais notre village ; non pas un ensemble de logements, mais notre maison ; non pas seulement le berceau éventuel de nos parents, mais le foyer de nos enfants. Je souhaite que Sorède ne soit que pour tous, c’est-à -dire qu’elle profite à tous. Et pour cela, je souhaite que Sorède ne soit que par chacun, c’est-à -dire qu’elle soit de la responsabilité de chacun et que chacun en prenne sa part. »
La Marseillaise entonnée pour la deuxième fois de la cérémonie, les citoyens et les élus sorédiens ont partagé le verre de l’amitié.