(Communiqué)

 

“Le maire d’Argelès-sur-Mer choisit de laisser la dette qu’il a lui-même creusé, aux générations futures”. Sous ce titre, Charles Campigna, élu de la Ville d’Argelès-sur-Mer, nous communique avec prière d’insérer :

 

-“Alors que la dette municipale Argelésiennne continue de grimper (info ministère de l’économie et des finances et chambre régionale des comptes) à des niveaux alarmants, notre maire, dans un élan de cynisme, choisit de ne pas augmenter les impôts pour maintenir une façade de grand financier qu’il n’est pas.

La décision de ne pas augmenter les impôts peut sembler populaire à première vue (surtout à moins d’un an maintenant des élections municipales… Cherchez l’erreur !). Le maire évite d’aborder le problème de fond : la gestion irresponsable des finances publiques. Cette approche est non seulement trompeuse, mais elle met en péril l’avenir économique de notre collectivité.

Sous la direction du maire actuel, la dette de la commune a explosé. Les projets sont mal planifiés, mal évalués, mal financés et les conséquences à long terme irresponsables.

Pire, en refusant d’augmenter les impôts, le maire choisit de laisser cette charge peser sur les générations futures.

Ce cynisme financier, qui consiste à faire croire que tout va bien, est indigne d’un maire. Pour preuves, des emprunts d’une durée de quarante ans.

Privatisation du port d’Argelès à des fins de remboursement de la dette.

Des échéances de prêts reporté.

Cette gestion est d’un cynisme sans limite.

Une gestion hypocrite ou le maire fuit ses propres décisions, après moi le déluge.

Une gestion saine des finances publiques nécessite de la transparence, de l’honnêteté et un engagement envers le long terme. Une augmentation des impôts est nécessaire pour garantir la pérennité, la qualité des services, l’intégrité et la responsabilité de celui qui engage des investissements, plutôt que de fuir la dette qu’il a lui même creusé.

Une dette ça se paye à un moment ou l’autre et plus on retarde l’échéance plus la facture est salée”.

 

Charles Campigna, conseiller municipal d’opposition d’Argelès-sur-Mer.