Jean-Paul Alduy (UDI), président de Perpignan-Méditerranée Communauté d’Agglomération (PMCA) nous communique avec prière d’insérer, suite aux propos de Christian Bourquin (PS), sénateur des P-O, président de Région (PS) :

« Au moment où je descends de l’estrade, j’ai assisté à un rapprochement inédit, que l’on n’avait pas vu depuis longtemps, entre Madame Jacqueline Amiel-Donat et Monsieur Christian Bourquin, qui ni l’une ni l’autre n’avaient de mots assez durs envers moi.

J’ai au moins un point d’accord avec la déclaration de Christian Bourquin à mon égard : nous ne sommes pas dans la même catégorie.

Nous ne sommes pas dans la même catégorie d’homme politique.

A sa différence, je n’ai jamais été condamné à de la prison, ni même mis en examen.

Je suis et resterai jusqu’au bout, un élu républicain respectueux de la Justice de mon pays.

Mais surtout, Christian Bourquin n’a aucune vision de l’avenir.

Il a en revanche une véritable addiction de pouvoir : président-sénateur de la Région, président du Conseil général des Pyrénées-Orientales par personne interposée et il souhaite encore être prochainement maire de Perpignan, toujours par personne interposée.

Je note qu’il se dit de gauche, mais il n’en a que l’étiquette, et encore, il l’a perdue.

Quant à Madame Jacqueline Amiel-Donat qui voulait en 2008 démolir le Théâtre de l’Archipel, si on avait suivi sa politique de « dette 0 », Perpignan aurait continué à perdre de la population, donc des recettes fiscales en baisse et des impôts en hausse !

Je l’affirme cette dette est maîtrisée; elle nous a permis de moderniser notre Ville, notre Territoire.

Elle non plus, comme Monsieur Christian Bourquin, n’aura eu jusqu’au bout, aucune vision d’avenir ! »