INSTALLATION GRAPHIQUE

DE LA TÊTE AUX PIEDS

Thomas Antoine Pénanguer

 

du 04 février au 06 mars | Verrière du Carré du Théâtre de l’Archipel
entrée libre
En écho à la création chorégraphique de Mar’a, de Nassima Moucheni le 5 mars au Théâtre de l’Archipel, la compagnie Nmara présente une installation graphique du plasticien Thomas Antoine Pénanguer intitulée : De la tête aux pieds.L’oeuvre est installée sur la baie vitrée du Carré : une représentation figurative de visages féminins et de pieds “en marche”. Sans tomber dans une symbolique narrative, l’artiste exprime ici une vision positive sur l’engagement des femmes dans nos sociétés tout en jouant, par sa composition, avec l’architecture de cet espace de verre au frontière de la ville et du théâtre.L’installation graphique est visible à partir du 4 février et jusqu’ au 6 mars, et sera complétée par deux robes/vidéo, Å“uvres de la plasticienne Annie Coudert à partir du 19 février.

Domènec Reixach, directeur et l’équipe du Théâtre de l’Archipel vous convient au
VERNISSAGE de l’INSTALLATION GRAPHIQUE
DE LA TÊTE AUX PIEDS
lundi 23 février 2015 à 18h15
en présence du plasticien Thomas Antoine Pénanguer et de la chorégraphe Nassima Moucheni
au Théâtre de l’Archipel / Verrière du Carré du Théâtre de l’Archipel
avenue du Général Leclerc – 66000 Perpignan

Ce temps d’échange sera suivi  de la répétition ouverte au public de la création Mar’a au studio du Théâtre de l’Archipel.(attention accès à la répétition sur inscription préalable à rp@theatredelarchipel.org)


Installation graphique
du 04 février au 06 mars
| Verrière du Carré du Théâtre de l’Archipel
entrée libre

LE THÉÂTRE DE L’ARCHIPEL ACCOMPAGNE NASSIMA MOUCHENI / COMPAGNIE NMARA
Compagnie installée à Tresserre(66)Nassima Moucheni, est née en 1973 à Tizi Ouzou, en Algérie. Elle fait partie de ces enfants à la double culture qui s’intègrent dans leur nouveau pays tout en ayant un coeur tourné vers le pays d’origine. Une situation rêvée pour développer le jugement critique et la ontradiction.
Si elle ne pouvait pas dire certaines choses alors elle les danserait : la danse comme langage universel pour aborder des questionnements ouverts sur le corps, les différentes techniques de danse, l’espace et le temps mais aussi sur la façon de s’approprier des thèmes de   société et de toucher ainsi autant au sens qu’à la forme. Elle fonde en décembre 2012 la compagnie Nmara. En 2013 les perspectives de créations scéniques de la compagnie ouvre le champ à des collaborations tant sur le plan de la création sonore que scénographique, notamment avec le plasticien Thomas Pénanguer, qui donnera lieu à une première création Mar’a.â–º en résidence au Théâtre de l’Archipel fin février 2015
► Création mondiale de Mar’a le 05 mars 2015