Louis Aliot, maire de Perpignan, vice-président du Rassemblement National (RN), accompagne Marine Le Pen, présidente du 1er groupe de députés à l’Assemblée Nationale, sur l’île de Mayotte, 101e département français, frappé par le cyclone Chido il y a déjà trois semaines
–“La situation et le sentiment d’abandon ambiant, laisse des milliers de personnes sans eau, sans électricité et sans toit”, décrit Louis Aliot. “Un hôpital durement touché avec un personnel médical et de santé héroïque. Des services de sécurité et nos Armées mobilisés dans tous les domaines. Des sapeurs pompiers de la France entière au travail. Et des humanitaires qui répondent toujours présents en pareille situation”, poursuit le maire de Perpignan, bouleversé par l’état des lieux qu’il a pu constater depuis son arrivée à Mayotte, ce territoire-confetti français de 376 m², posé dans l’océan indien, à l’Est de l’archipel des Comores, au nord-ouest de Madagascar.
–“Des centaines d’écoles dévastées avec des milliers d’enfants sans école… autre problème grave. Et des dégâts qui se chiffreront par centaines de millions d’€uros. Le territoire est entièrementà reconstruire sur des bases saines en exploitant le formidable potentiel de ce territoire magnifique, un département français, où les habitants ont démontré leur attachement à la France”, témoigne Louis Aliot sur place.
Il s’indigne : “Reste le problème numéro un : l’immigration clandestine ! Car même avec ce désastre l’afflux de populations étrangères notamment des Comores est permanent. Les reconduites massives à la frontière doivent se faire sans trembler, le contrôle draconien des frontières doit être effectif et la préférence nationale appliquée sinon la reconstruction ne sera jamais effective et efficace avec des problèmes démocratiques graves à la clef”.
Et le maire de Perpignan de conclure : “Encore une fois nous aurons prévenu !”.