Pour informations complémentaires :
L’UNRWA s’est impliquée dans de nombreux scandales dont :
- De nombreux membres du personnel de l’UNRWA ont participé au massacre du 7 octobre
- Des centaines de membres du personnel de l’UNRWA Ã Gaza sont membres de groupes terroristes
- Le chef du syndicat des enseignants de l’UNRWA au Liban était le chef du groupe terroriste du Hamas au Liban
- L’ancien chef du syndicat des enseignants de l’UNRWA à Gaza siège au Politburo du Hamas avec Yahya Sinwar
- 3 000 enseignants de l’UNRWA étaient dans un groupe Telegram qui célébrait le 7 octobre
- Le Hamas a construit un tunnel terroriste juste sous le siège de l’UNRWA à Gaza, cachant un centre de renseignement informatique alimenté par le réseau électrique de l’agence.
Le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, est dit « horrifié » par cette nouvelle. Pourtant, au cours de la dernière décennie, UN Watch a envoyé à l’organisation mondiale d’innombrables avertissements concernant le soutien du personnel de l’UNRWA contre le terrorisme. Inexcusablement, l’UNRWA a refusé de rencontrer UN Watch. L’UNRWA n’a rien fait – à part attaquer le messager.
Ce n’est qu’en janvier 2024, face à la pression croissante suscitée par les révélations d’UN Watch sur le programme terroriste de l’UNRWA , que le commissaire général Philippe Lazzarini a annoncé une « enquête indépendante ».
Le 20 avril, le groupe d’enquête a conclu que l’UNRWA disposait d’un « cadre solide » pour défendre sa neutralité et a déclaré l’agence « irremplaçable » et « indispensable ». En fait, comme l’a révélé UN Watch, l’enquête a été complètement truquée : les enquêteurs étaient tous des défenseurs connus de l’UNRWA.
Même après cette évaluation, l’UNRWA a refusé de licencier Fathi al-Sharif, chef connu du groupe terroriste Hamas et président du syndicat des enseignants de l’UNRWA au Liban, qui supervise soixante-cinq écoles et 39 000 élèves.
Malheureusement, après une campagne d’influence massive organisée par le rapporteur spécial de l’ONU, Francesca Albanese — et malgré toutes les preuves des liens de l’UNRWA avec le terrorisme — de nombreux États membres ont rétabli le financement de l’UNRWA.
Il n’est pas surprenant que le terrorisme trouve refuge auprès de l’UNRWA. L’objectif de l’agence est de perpétuer les chagrins, la haine et la guerre en refusant d’accueillir les réfugiés arabes de 1948 et leurs descendants.
Aujourd’hui, l’UNRWA considère de manière absurde que 70 % de la population de Gaza – qui vit dans ce qu’elle appelle la Palestine – sont des « réfugiés ».
Depuis sa création en 1949, l’agence a fait croire aux Gazaouis que leur foyer n’était pas à Gaza, mais de l’autre côté de la barrière, en Israël.
Il existe un lien direct entre ce récit, qui fait partie d’un processus de radicalisation qui s’est déroulé sur plusieurs années dans les écoles de l’UNRWA, et l’invasion d’Israël par des milliers de terroristes de Gaza qui ont franchi la barrière et massacré des civils israéliens le 7 octobre. Pour le Hamas, ils n’ont fait qu’exercer leur « droit au retour » promu par l’UNRWA.
Le mensonge selon lequel le travail humanitaire de l’UNRWA est « irremplaçable » est désormais utilisé pour renforcer encore davantage l’idéologie toxique de l’agence selon laquelle les Palestiniens devraient « retourner en Israël ».
Ne laissez pas votre gouvernement continuer à dépenser votre argent pour la radicalisation de Gaza. L’aide humanitaire et le mandat toxique de l’UNRWA doivent être immédiatement dissociés.
L’aide devrait transiter par d’autres agences qui opèrent déjà à Gaza et qui sont expertes dans cette tâche partout ailleurs dans le monde, comme l’OMS, le Programme alimentaire mondial ou l’UNICEF.
Ça suffit. Il est temps de mettre un terme à la logique perverse d’une agence qui perpétue la guerre. Il est temps de remplacer l’UNRWA.