CEUX QUI M’AIMENT …

vendredi 11 janvier 20h30
Le Grenat – 1h15
Tarifs de 10 à 20 €

Patrice Chéreau a beaucoup écrit. D’une grande beauté littéraire, ses textes sont aussi le reflet d’un homme engagé artistiquement et politiquement, mêlant son œuvre et sa vie amoureuse. Pascal Greggory est non seulement le comédien qui a le plus travaillé avec lui : ils ont créé ensemble cinq pièces de théâtre et cinq films. Mais il est aussi celui qui, par-delà ces créations, a partagé sa vie, a connu ses tourments, ses doutes, ses immenses succès et ses « débordements de tout ».

Il confie que Chéreau lui a appris énormément : la gravité et l’effort au travail, l’âpreté du métier d’acteur et les immenses joies qu’il procure. Les deux hommes ont échangé une grande correspondance, et ce sont ces lettres que Pascal Greggory souhaite lire, ainsi que des textes peu connus du public et parfois même inédits que Chéreau a écrits sur ses mises en scène et ses réflexions théâtrales et cinématographiques. Pour ce spectacle, qu’il souhaite à la fois intime et universel, le comédien s’entoure des complices de toujours de Patrice Chéreau : Jean-Pierre Pancrazi à la mise en scène, Anne-Louise Trividic à la dramaturgie et Dominique Bruguière à la lumière.

Sensible et vibrante, Pascal Greggory crée une lecture théâtralisée où il raconte l’histoire d’un homme cher à son cœur, et au nôtre aussi !

vendredi 11 janvier 20h30
Le Grenat – 1h15
Tarifs de 10 à 20 €

Retrouvez tous les spectacles de la saison sur : www.theatredelarchipel.org

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En écho au spectacle…

jeudi 10 janvier, 18h30 à l’Institut Jean Vigo – Perpignan

Rencontre avec Pascal GREGGORY, autour de Patrice Chéreau, suivie à 20h de la projection de Ceux qui m’aiment prendront le train : Jean-Baptiste Emmerich, artiste peintre veut qu’on l’enterre dans sa ville natale Limoges. C’est par cette phrase qu’il règle ses dernières volontés, lui qui voyait arriver la mort et ne voulait pas partir en laissant les autres en paix. Le film dissèque une journée d’une quinzaine de personnages en crise, rassemblés autour d’un mort, dont la présence et le regard les faisaient exister, qui ont perdu tout repère et se retrouvent obligés de se confronter les uns aux autres.

L’Archipel | scène nationale de Perpignan