L’initiative est à renouveler… et elle l’a d’ailleurs déjà été à plusieurs reprises, avec succès !
Hier soir encore donc, de 18h 30 à 21h 30, Laetitia du Domaine viticole Pietri-Géraud, avec l’amicale complicité de la pizzéria d’en-face, Al Cantou (Qui a servi des portions de pizza en guise de tapas pour accompagner la dégustation de vins), avait organisé une sorte d’apéritif concert dans l’une des plus ancienne cave de Collioure (celle du Domaine Pietri-Géraud), rue Pasteur, à moins de cent mètres du célèbre clocher de Collioure.
Le trio La Bossa Nostra était chargé d’apporter la touche musicale (et il l’a fait avec brio !) de ce moment particulièrement couru des amateurs du genre, des Colliourencs et des touristes qui n’ont pas manquer de s’associer à l’événement.
Celles et ceux qui connaissent Laetitia savent combien et comment elle se bat sur tous les fronts pour, à l’échelle de ses grands vins, assurer la promotion des crus Banyuls et Collioure, dans la continuité d’une dynastie familiale dont elle assure depuis plus d’une décennie maintenant la brillante relève. On ne peut que souligner avec insistance l’obstination et la passion avec lesquelles Laetitia Å“uvre au quotidien, et lui rendre le bel hommage dû.
Hier soir encore, dans sa cave transformée en bistro musical pour l’occasion, de manière artisanale et avec son légendaire sourire Laetitia nous a servi leçons et saveurs dans le respect de la tradition locale, le tout combiné à une convivialité des plus chaleureuses. Le climat – exceptionnellement doux par rapport à la période tristounette que nous subissons depuis le début du printemps (dont nous espérons encore et encore l’entrée en scène !) – est venu agrémenter merveilleusement cette rencontre à la fois gourmande et festive comme seul, sur le littoral roussillonnais, le village de Collioure sait mettre en musique pareils événements…
Bientôt, le week-end prochain, le festival Les Musaïques confirmera cette atmosphère ancrée dans cette phrase d’ Aragon dont Collioure n’en finit pas de s’inspirer : “Parce que tout peut encore faire battre le cÅ“ur des Hommes (…)” ; et c’est tant mieux ainsi !