Alain Ferrand (LR), maire du Barcarès et 1er vice-président de la communauté Urbaine Perpignan-Méditerranée Métropole (PMM), ainsi que trois autres personnes – parmi lesquelles son adjoint délégué à l’Urbanisme et deux employés municipaux* -, seraient toujours entendus par la dizaine d’enquêteurs du SRPJ de Montpellier

Ce mercredi, la parquet de Marseille a confirmé la prolongation des gardes à vue pour le motif “d’extorsion en bande organisée”.

L’information, ouverte il semblerait l’année dernière, porterait sur des soupçons d’irrégularités dans “la création et la mise en place de taxes ou de droits, imposés par le maire du Barcarès, sans base légale, à des commerçants, artisans et gérants de campings, ainsi que sur les conditions dans lesquelles ces sommes prétendument dues ont été exigées”, selon un communiqué du parquet de Marseille.

 

*Le troisième employé municipal, une secrétaire, a été libérée ce soir à 20h.