TRACT-BUS-V1.00 

Le Front National/ Rassemblement Bleu Marine a présenté ses candidats sur le canton 6 des P-O, intitulé “Les trois Vernets”…

Bernard Reyes, natif et résidant du canton, contrôleur des ASF,

Son suppléant, Mohamed Bellebou, conseiller municipal et communautaire de la liste « Perpignan ensemble avec Louis Aliot », président de l’Association France Harkie.

Marie-Thérèse Costa Fesenbeck, retraitée de la Sécurité Sociale, conseillère régionale, conseillère municipale et communautaire de la liste « Perpignan ensemble avec Louis Aliot », candidate sur le Haut-Vernet aux cantonales en 2011, admise au 2ème tour,

Sa suppléante étant Danielle Pujol, conseillère mutualiste.

Marie-Thérèse Costa-Fesenbeck a rappelé les 93 agressions en 2014, déjà 10 au 18 février. “A cette allure, le nombre des agressions va dépasser celui de 2014 !

Nous disons stop :

Stop à la longue litanie du nombre des bus caillassés sur notre canton !

Stop aux incivilités à divers degrés  de la part de bandes de voyous de plus en plus jeunes,

Stop au trafic de drogues devant nos portes,

Stop aux trop nombreux cambriolages,

Stop aux agressions de plus en plus violentes sur les chauffeurs des bus de l’Agglomération PMCA, les personnes particulièrement âgées ou vulnérables.

Le FN’66 et RBM’66 soutiennent tous les chauffeurs de bus. Il est inadmissible qu’ils effectuent leur travail la peur au ventre !

Cette situation empire de jour en jour depuis de nombreuses années et ne fait que confirmer ce que le Front National/ RBM dénoncent depuis longtemps, déjà en 1998, ainsi que le 10 novembre 2014, nous avions dénoncé ces agressions envers les chauffeurs de bus, cela ne date pas d’hier, dans l’indifférence générale et les critiques aveugles de la droite et de la gauche locales.

Les honnêtes citoyens, les gens modestes et les plus faibles vivent avec la peur. Les conséquences sont désastreuses sur le commerce, la vie économique et l’image de notre canton”.

Bernard Reyes a souligné : “Dimanche, nous avons contacté le délégué-chauffeur pour lui apporter notre soutien sans arrière pensées.  Ce dernier nous indiquait que malgré des tours de tables avec la préfecture et des élus de Perpignan, rien n’avance. Madame la Préfète, propose une Charte de Sécurité, mais à quoi va  t elle servir si les moyens ne sont pas mis en Å“uvre pour protéger les chauffeurs et contrôleurs de bus. Il y a quelques années, ils étaient épaulés par les élus et aujourd’hui ils se sentent abandonnés. Nous attirons l’attention sur le fait que ces personnes sont des responsables de famille (père ou mère) qui vont au travail avec la peur au ventre en se demandant s’ils rentreront sains et saufs le soir chez eux. Aujourd’hui, il n’y a pas de graves conséquences physiques mais savons nous ce qu’il en sera demain avec la progression de la violence gratuite ? Non, nous n’exagérons pas les faits sont là et il ne faut pas se cacher la face. Il est regrettable que certaines associations rentrent dans le système, d’aider et protéger les pauvres défavorisés qui nuisent à la tranquillité et au respect de ceux qui travaillent”.

Marie-Thérèse Costa-Fesenbeck a enchaîné : “Le Front National/ RBM est :

Pour une politique de tolérance zéro,

Pour la reconstitution des effectifs de police et de gendarmerie,

Pour un vaste plan carcéral,

Pour des sanctions renforcées contre les délinquants,

Pour redonner une vraie place aux victimes.

Nous voulons dénoncer que les élus UMPS pensent qu’en donnant des subventions à tout va à des associations, cela est un gage de tranquillité.

Non car c’est un puits sans fond. Non, c’est aux parents à éduquer les enfants, pas à des associations qui dépendent de l’UMPS. Nous voulons également dénoncer que les élus UMP et PS ne font pas leur travail au sujet des handicapés. Aucun n’était là lorsque les handicapés sont descendus manifester de la FNAC à la Préfecture et CG.

Bernard Reyes a rajouté : “Nous vous posons une question : Est-ce que ce sont les parents qui éduquent les enfants ou l’inverse avec l’argent facile qui entre à la maison ? Au lieu de surveiller les barrières de la permanence de certains élus de notre canton, il serait préférable de veiller à la sécurité des citoyens. Et d’ajouter : Nous invitons les journalistes à passer une journée avec nous sur le terrain pour toucher du doigt la réalité des problèmes comme nous le faisons tous les jours et qui sont survolés par la presse. Nous nous posons une question : Pourquoi l’incident s’est passé mercredi et que l’information est communiquée le dimanche ?”.