Clotilde Ripoull, tête de liste “Perpignan Equilibre”, sans étiquette, communique :

“Le Figaro Magazine des 10-11 janvier dénonce la gestion de l’actuel maire, JM Pujol. En un seul mandat, la dette de la ville a bondi de 7% tandis que les impôts des perpignanais ont augmenté de 14%. Désormais, la dette par habitant est la plus élevée de France dans les villes de plus de 100 000 habitants, avec 3 938 euros par Perpignanais !

Face à cette situation, il y a deux réactions.

Soit tirer sur l’ambulance. En l’occurrence tirer sur M. Pujol et M. Alduy qui gèrent depuis 24 ans la ville et l’ont mené droit dans le mur. Je ne le ferai pas ! Il n’est plus question de s’opposer mais pour moi de construire une alternative municipale sérieuse, crédible. Après tout, que les perpignanais qui veulent encore voter pour des élus à ce point décrédibilisés, si peu rigoureux avec l’argent public prennent toutes leurs responsabilités et s’attendent à payer encore plus d’impôts si par hasard M. Pujol repasse !

Soit rassembler une équipe de futurs élus, reconnus pour leurs expertises et leur sérieux. Une équipe capable de prendre la suite au sein d’une liste sans étiquette, d’en finir avec les déséquilibres financiers et sociaux de la Ville. C’est mon ambition, c’est notre ambition. Je suis une femme de parole, je refuserai de verser dans la démagogie pour être élue.

Avec moi, la sécurité sera traitée à sa juste place et ne deviendra pas un argument électoral pour masquer une absence totale de programme.

Avec moi pas de bus urbain à un euro qui déstabilisera encore davantage les finances perpignanaises, pas de fausse promesse sur le passage en régie de la distribution de l’eau qui occasionnera un procès coûteux pour la ville.

Avec nous, plus de nouvelles augmentations d’impôts. Je suis une gestionnaire, j’ai élaboré des mesures concrètes pour désendetter la ville par une politique ferme et réaliste d’économies.

Avec la liste Perpignan Equilibre, j’ai ainsi dès décembre dernier pris l’engagement d’un « stop fiscal » pour les ménages et les entreprises de Perpignan. Au-delà de cet aspect, avec un programme municipal et 66 propositions nous préparons l’alternative !”.

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