Communiqué

“Une fois de plus, l’Etat de droit cède devant un quarteron d’ultra gauchistes !” par Edouard Fesenbeck et Jean-Claude Pinget (FN)

– “En effet, Mme le Préfet vient d’interdire toutes promenades liée au devoir de mémoire et de respect de nos morts survenus lors des évènements d’Algérie, que les associations rapatriées ont coutume de faire au cimetière du Haut-Vernet.

Dans une ville comme Perpignan, où les Rapatriés pieds noirs et harkis fuyant la barbarie FLN et la lâcheté du gouvernement de l’époque ont trouvé refuge en grand nombre, il est normal que ceux-ci puissent honorer leurs morts.

Une kyrielle d’organisations gauchistes, trotskystes et anarchistes dont le goût pour la provocation est inversement proportionnelle à leur nombre d’adhérents en annonçant une manifestation dont l’expérience a démontré qu’elle réunissait beaucoup moins de manifestants que le nombre d’associations pour la plupart fantômes.

Le chantage a donc fonctionné comme à l’accoutumée, la représentante du pouvoir socialiste a pu céder et interdire cette manifestation”.