Maintenant ou jamais.

Que serait Perpignan si en 2008, il n’y avait pas eu la fraude, ce vol de vos votes dissimulés dans une chaussette ?

Que serait Perpignan si en 2009, après ce combat juridique que j’ai mené seule pour aboutir à l’annulation du scrutin de 2008 par le Conseil d’Etat, la gauche départementale et régionale au pouvoir, les Codognès, Langevine, Ripoull et Grau, unis alors dans la même équipe, n’avaient pas fait en sorte de laisser réélire Alduy, et Pujol dans sa traînée ?

Que serait Perpignan aujourd’hui ?

Alors sans vouloir réécrire l’histoire pour réinventer un présent, je peux affirmer qu’elle serait plus juste : c’en serait fini des copinages et des arrangements, des passe-droits et des compromissions. Le respect des droits de tous et de chacun – ça, c’est une certitude.
Une justice et une dignité retrouvées.

Aujourd’hui tous ceux-là de 2008/2009 sollicitent vos votes, en ordre dispersé, avec des alliances nouvelles, avec des étiquettes nouvelles, mais avec toujours les mêmes vieilles promesses et les « bonnes » vieilles méthodes. Et en brandissant la ficelle macroniste éprouvée de la menace de Louis Aliot ! Louis Aliot dont le passage du Front au Rassemblement a servi la carrière en le propulsant député de la 2e circonscription, mais n’a rien changé à son désintérêt pour les affaires municipales : un absentéisme dont le taux ramènerait celui des scolaires en ZEP à une plaisanterie, une opposition inexistante sauf de manière dogmatique, mais la récupération, au passage, de personnes proches d’Alduy et de la gauche départementale, pour une liste dite « d’ouverture » dont le programme pour Perpignan ne contient rien d’autre que les vieux poncifs électoralistes et la célébration de leur propre personne !

Alors, voilà, c’est le moment.
C’est le moment d’oublier le camembert des résultats du dimanche soir à la télé, du rose, du bleu, du jaune ou autre tranche de couleur dans laquelle Perpignan serait noyée.
C’est le moment d’être égoïste et de ne penser qu’à Perpignan et ses habitants, de se donner pour tous une chance d’avenir à Perpignan et son agglomération.
C’est le moment de comparer projet contre projet, programme contre programme, et de faire la différence entre les sempiternelles fausses promesses, et les réalisations, étudiées, analysées techniquement et financièrement, qui sont proposées.

C’est le moment ou jamais, plutôt que de continuer avec ces « vieux jeunes » et ces « jeunes vieux », incapables de sortir cette ville de son endormissement, avant de sombrer dans le coma.
En faisant confiance à la seule liste sans soutien d’un parti politique.
En faisant confiance à la liste la plus jeune en moyenne et la plus représentative professionnellement.
En faisant confiance à la liste qui ne se sert pas de ces élections pour briguer d’autres mandats.

C’est « Perpignan la Républicaine », menée par Olivier Amiel.

Osez voter pour vous, Osez voter pour votre avenir et celui de vos enfants, Osez voter Olivier Amiel !

 

 

*Jacqueline Amiel-Donat
Professeur agrégée des Facultés de Droit
Ancienne tête de liste de l’union de la gauche en 2008 et 2009
Seule partie au procès de « la chaussette » au Conseil d’Etat contre Jean-Paul Alduy, Jean-Marc Pujol et leurs colistiers.