“CECI N’EST PAS UNE PUBLICITE MAIS UN RECIT, UN COMMUNIQUE DE PRESSE SUR LA SORTIE D’UN ROMAN ECRIT A PERPIGNAN UN MOIS APRES MON ARRIVEE…”

“Bonjour,

Je me permets aujourd’hui de vous écrire pour vous raconter l’aventure fantastique que je vis depuis mon arrivée dans les P-O. Pouvez-vous mettre sur votre page cette histoire d’un romancier qui a retrouvé l’espoir à Perpignan ?

Je m’appelle Thierry Robertson (nom d’auteur) et je suis originaire de la région parisienne.

Entre 1996 et 2013, j’ai souffert d’une incertitude sur la vie considérée comme schizophrénie, bipolaire voire même bordeline, trois maladie (soit-disant des maladies) qui auraient dues m’achever alors que finalement je n’étais atteint que d’un désespoir profond. Les crises économiques successives et les embellies m’ont fait valser entre bonne humeur et mauvaise humeur. Je voterais plutôt pour le bipolaire comme le fut Churchill et maintenant le Général de Gaulle. C’est “fou” tous ces “cinglés” qui ont osé se dresser contre Hitler. C’est “fou” aussi ce bipolaire qui a faillit mettre le feu aux poudres contre le paranoïaque de Staline lors du conflit en pleine guerre froide concernant les missiles de Cuba. Bref, la guerre est une grande folie mais quand elle est dans notre corps, c’est encore plus grave.

Je décide en avril 2014 d’accepter d’avoir le droit de souffrir. A ce moment, cette acceptation me donne des ailes et je finit symboliquement sur la scène de la finale de la coupe du monde de slam à Belleville le 8 juin 2014.

Puis il y a eu ces vacances avec ma fille et ma mère ici à Perpignan en cet été 2013, une fin de juillet au soleil. le but de ma fille qui passait à l’âge adulte était de nous présenter son amoureux. Nous avons logé dans un hôtel, “l’Hôtel AVENIR” rue de l’avenir. Il faut dire que la rue de l’Avenir dans le 20e à Paris est sans issue, une vraie impasse avec l’ordre de ne pas y stationner. Direction Place des Fêtes.

Nous avons trouvé, ma mère et moi (car impossible de laisser ma mère souffrante à Paris) un bel appartement de 84m², en plein centre ville, pour un loyer quatre fois moins cher qu’à Paris, avec le soleil en prime. Puis il y a eu ce concert à l’Aréna de Montpellier après celui de Bercy de celle que je porte dans mon cÅ“ur et que j’admire. Je regarde sa photo et je lance une phrase qui va déclencher l’aventure du roman…

Tout commence à Perpignan, l’histoire se passe dans un tour du monde d’une fan devenue accroc d’un artiste dans le slam chapeau, nouvelle façon au public de noter les poètes dans une société moins bête et plus rassurée sur son destin. Cela n’empêche pas les trahisons et les coups foireux dans les milieux des fans et du spectacle.

Un roman est en cours d’écriture le 2 octobre et ensuite proposé à des éditeurs dès le 17 octobre puis le contrat tombe depuis Saint-Denis (c’est fort car je répétais mes textes à 500 mètres de mon éditeur). D’autres éditeurs vont venir faire des propositions mais je choisis EDILIVRE car leur façon de faire me convient. Je veux rester indépendant.

Les corrections commencent durant les six mois qui suivront par échanges de trois BAT. Puis la sortie le 8 avril dans une mise en disponibilité. “LA FAN”, premier roman dans le milieu du slam avec des textes de poésie vivante, un vécu revu et corrigé pour en faire une vraie victoire.

L’histoire de “LA FAN” est assez simple :

“Fabienne Marconnie est une jeune fille qui souffre d’une maladie orpheline handicapante tout droit descendue de la Première Guerre mondiale. A chaque pas, elle va de travers dans les pentes, les escaliers, les chemins plats. Seules les côtes lui permettent de bien de stabiliser et aussi la “Pinte Vodka”.

Elle monte la rue de Belleville en direction de la station de métro “Télégraphe” pour en finir avec la vie. La côte est dure mais elle se sent bien dans ces derniers instants. Elle sait que descendre cette station, point culminant de Paris (selon certaines personnes) sera terrible. mais à quoi bon vivre quand la vie est un calvaire.

Pourtant au détour de la rue des Pyrénées, elle entends des voix qui l’attirent dans un lieu, un cabaret Populaire. A ce moment précis, elle comprend qu’elle vient d’entrer dans le monde du slam et tombe sous le choc de Thibault Laval alias Ludovic Thirard. Elle en devient fan et va décider d’y consacrer tout son temps, acheter un appartement dans ce quartier, y faire un “fan club”.

Elle va réussir à délivrer un tel amour que son père décide de redevenir l’homme qu’il était jadis avant d’être ce bourgeois, ce chef d’entreprise.

Fabienne n’a qu’une idée en te^te : tout avoir de ce slameur jusqu’à partager une nuit magique. Mais le rêve est loin de la réalité. Les mensonges, les secrets, la tricherie vont transformer Fabienne bien au delà du tolérable. Pourtant, même si elle le trahit, ce sera pour la bonne cause.”

Quand on analyse ce roman, on se pose la question “Mais qui est Fabienne Marconnie ?”. La réponse est si évidente qu’elle ne vient même pas à l’esprit. Pourtant, c’est cette jeune femme rousse aux yeux verts (rousse pour la rebelle, yeux verts pour l’espoir) est présente dans notre quotidien et nous sommes tous fan de cette femme. Juste que l’on ne comprend plus les règles qu’elle nous impose.

Thierry Robertson a réussit un second pari en deux ans. C’est une réussite car comme disait le célèbre Salvador Dali “Quand je suis à la gare de Perpignan et que je peints, je me sens au centre du monde”. Il faut bien relire cette phrase car le poète est dans la même catégorie puisque la plupart des poèmes écrit dans ce roman recueil de poésie vivante, s’obtiennent uniquement en piquant les idées des gens ne serais-ce que sur un mot, une action, un sentiment. C’est la public qui écoute souvent ses propres textes. Trop souvent, on me l’avait demandé, alors j’ai craqué.

Thierry Robertson sera présent au salon du livre et des arts les 21 et 22 juin, le week-end de la fête de la musique.
Il vous donne rendez-vous le samedi 21 juin à14hoo pôur une causerie sur le thème “le fan, sa vie est-elle équilibrée ou délirante” et le dimanche 22 juin “l’artiste a-t-il une vie simple ou complexe”. Près de 50 écrivains, libraires et éditeurs seront présents.

Je remercie beaucoup les personnes qui m’ont aidé dans cette aventure notamment le monde des fans et le monde du slam parisien, français et mondial et surtout la FFDSP (la fédération de slam).

Je remercie surtout cet ami fan de Mylène de m’avoir donné les clefs de la poésie et qui sera mon invité exclusif durant le mois de juin autant à Paris pour la coupe du monde de slam poésie 2014 que pour sa venue chez moi, sur ma nouvelle ville qui m’a donné une nouvelle vie.

Je remercie aussi pour son accueil Raymond Matabosch, vulcanologue et élève assistant de Haroun Tazzief et aussi auteur de nombreux ouvrages sur de très nombreux thèmes.

Je remercie aussi l’attachée parlementaire du sénateur-maire François Calvet du Soler. Parfois, peu importe l’étiquette que l’on porte, le plus important est le cÅ“ur que l’on sait ouvrir au bon moment. Que ce soit à gauche ou à droite, seul les gens qui ont le coeur à l’ouvrage sont des gens bons et non des porcs. Bien sûr, rien de pire que le FN et ses alliés pour détruire tout cela.

Je remercie aussi ma fille, mon ADN, qui a su me trouver une belle sortie.

Je remercie surtout les Perpignanais dans leur accueil parfois un peu tendu mais souvent avec le sourire.

Voici les coordonnées de ce roman sur le site EDILIVRE :

http://www.edilivre.com/la-fan-thierry-robertson.html#.U4bZqHYleHo

Toutefois, j’accorde une très grande importance si ce roman est acheté dans une librairie locale ou du département. Car il faut savoir que pour sortir de la crise il faut créer du travail pour tous.

Il faut surtout arrêter de faire trop confiance à ceux qui font les lois et aller piocher dans ce qui correspond car le politique n’est pas là pour créer de l’emploi mais juste pour favoriser cette création. C’est le citoyen qui doit mettre en action la démarche du plein emploi.

Merci et à bientôt”.