*Danilo Pilon, ex-adjoint de la Ville d’Argelès-sur-Mer délégué à l’Animation, entr’autre.
-“Le maire-président de la communauté de communes Albères – Côte Vermeille – Illibéris (CC-ACVI), Antoine Parra (pour ne point le nommer), se définit comme “météorite politique”.
Meteor : personne dont la carrière est brillante mais très brève selon le dictionnaire… et le maire d’Elne, Nicolas Garcia, serait jaloux.
Ces quelques mots n’ont pas pour but de venir au secours de ce dernier, il n’a pas besoin de nous pour ça.
Ce comporter en Père fouettard et être autoritaire pour régler les différents qui peuvent exister, en n’utilisant que la répression – en enlevant par exemple les délégations à des personnes élu(e)s par la population -, comme en 2018 à Argelès-sur-Mer d’une façon sournoise où, certes, aucun d’entre nous n’a perdu sa qualification d’adjoint au maire, mais reçu comme délégations en gros du style celui de vérifier la couleur des pots de fleurs et lorsque nous avons demandé des explications la réponse fut “Je suis le maire !”, point à la ligne.
Bis repetita pour la vice-présidence communautaire de la Ville d’Elne !
Ce n’est pas au président de la CC-ACVI de choisir qui doit les représenter. La Municipalité d’Elne, Majorité et Opposition confondues, en confirmant leur confiance à leur maire pour la vice-présidence de ladite communauté de communes, sont là pour le prouver.
Prendre le risque de voir partir la commune d’Elne par un simple désaccord, ce serait humainement et financièrement ne pas rendre service à notre CC-ACVI et donc aux Argelésiens. L”adage dit : “mieux vaut un accord qu’une rupture”… d’où se retrouver autour d’un table, s’écouter avec l’envie de se comprendre.
Ces vertus, apparemment, ne seraient pas celles du maire d’Argelès-sur-Mer ? Un maire n’est pas un chef d’entreprise qui “aurait” seul le droit de décider – Qui reste et Qui part ? -, il est avant tout comptable de l’intérêt de ses administrés.
La prolifération anarchiste d’immeubles transformant “Argelès la naturelle” en Sarcelles bis – même si ont doit pouvoir loger la population -, devrait ce faire dans la concertation et dans des endroits où cela ne provoque pas une dépréciation des maisons environnantes dont les propriétaires, bien souvent, ont dû faire d’énormes sacrifices pour les acquérir. Ceux-ci voient désormais leur patrimoine fondre comme neige au soleil… C’est un devoir pour des élus d’en tenir compte.
Nous avons vu l’arrivée du maire actuel dans l’ombre du Premier magistrat de l’époque (NDLR. Pierre Aylagas), nous n’avions pas souvenir de l’avoir rencontré dans aucune association (en dehors de son travail d’enseignant) ; sa présence était, disons-le clairement, très-très discrète… de là à se comparer à une météorite !!!!
C’est mal connaître cet élément naturel destructeur, qu’il faut souhaiter ne surtout pas croiser (les dinosaures auraient pu en témoigner) !
Météorite non!… peut-être un petit satellite sans grande efficacité mis sur orbite par un homme qui aujourd’hui doit amèrement le regretter…
Humble avis de Danilo Pilon, pour l’AAPA (Association pour Argelès-sur-Mer)