(Communiqué)

 

Déclaration de Charles Campigna, conseiller municipal d’opposition d’Argelès-sur-Mer…

 

-“La justice annule deux décisions du conseil municipal d’empêcher des associations Argelésiennes d’occuper une salle municipale, et c’est une très bonne chose !

 

Le maire et sa majorité ont refusé des salles aux associations : l’ADREA, Les Amis de Jean Carrère, Réveil Citoyen, Parti Socialiste…

Et cela ne s’arrête pas là, le maire d’Argelès-sur-Mer* avec l’appui de toute sa Majorité municipale, interdit certaines associations particulièrement de l’Environnement, l’accès au forum des associations.

La Liberté de réunion est une liberté publique et politique, considérée comme fondamentale dans les valeurs de notre République.

Après le refus de débattre sur les questions diverses déposées par l’Opposition en conseil municipal, le refus de débaptiser la rue Alfons Miàs, antisémite reconnu, au lendemain de l’élection muncipale l’octroi d’ordinateurs portables aux seuls élu(e)s de sa Majorité municipale… Taper à toutes les portes des partis politiques pour être candidat aux dernières législatives, un nombre incalculable de recours au Tribunal administratif (TA), la division par manque de transparence des fonds de compensation à la communauté de communes… la liste est malheureusement encore longue.

Là, vous jugez les convictions pas très reluisantes des élu(e)s de la Majorité Argelésienne et du Chef suprême (…)”.

 

Charles Campigna, conseiller municipal d’opposition d’Argelès-sur-Mer

*NDLR. Antoine Parra (DvG/ Divers Gauche), maire d’Argelès-sur-Mer, par ailleurs président de la communauté de communes Albères – Côte Vermeille – Illibéris (ACVI).