A Collioure, ce dimanche matin, sur le marché de plein vent, ça déferle !…

 

-He tu as vu, le maire de Céret est entrain de vouloir piquer le festival Les Déferlantes à Argelès-sur-Mer ? 

  • « Pourtant, quand tu lis une certaine presse il dit que ce ne sont là que des rumeurs ? ».

-Ho ! Tu sais que dans la capitale de la cerise il se dit que le projet est sur les rails.

  • « Mais dis-moi, le Coste de Céret il ne fait pas parti de cette nouvelle génération d’élus qui voulait changer les pratiques ? ».

-Oui avec le maire d’Argelès ils apprennent vite, pas sûr en revanche qu’ils s’apprécient longtemps.

  • « Ou disons plutôt que le maire de Céret va vite en besogne… il devra revoir sa communication ! Car le moment venu comment justifier quand la rumeur n’en sera plus une ? ».

-Bien vu. Bien dit. Dans cette histoire un des deux perdra vite de sa superbe !

  • « Hé, à l’époque, souviens-toi, la création du lycée d’Argelès “Christian Bourquin” avait déjà suscité et révélé des tensions entre le stade Fondecave et le stade Gaston Pams ; rappelle-toi ».

-Mais, tu sais, les acteurs n’ont plus d’accents, et ils ne jouent plus dans la même division, non ?

  • « Crois-tu que Les Déferlantes vont les raviver, ces tensions passées, qu’une seconde vague va arriver ? »

-Comme il s’agit ici de Culture, cela sera plus feutré, cela se passera à fleurets mouchetés, et puis tu sais les fondamentaux se perdent ! C’est l’art de l’esquive plutôt aujourd’hui.

  • « La suite au prochain épisode, rétropédalage ou comment maladroitement justifier d’aller chercher chez son voisin un événement économico-Kultureux !”.