Comme dans ses précédentes expositions Kellestom s’engage sur un problème fondamental, l’eau

 

L’eau, ressource naturelle précieuse, essentielle à la vie, même à la survie.

Dans certaine parties de la planète, il n’y a plus d’eau donc la mort de la nature, dans d’autres il y en a trop et elle détruit, comme nous l’avons vécu dans plusieurs régions françaises et dans des contrées lointaines.

Catastrophes dans des contrées lointaines qui nous concernent aussi parce que ces phénomènes météorologiques vont provoquer des déséquilibres tels qu’eux-mêmes vont générer des migrations climatiques.

Avec sa maîtrise informatique Kellestom nous livre des œuvres oniriques, qui traitent de la quête désespérée du précieux liquide et dont la découverte tient plus du miracle ou du mirage.
Une exposition importante qui démontre que l’art est un moyen d’expression essentiel provoquant des émotions tant esthétiques que morales.