(Communiqué)
–“Je tenais à remercier chaleureusement les électeurs des Pyrénées-Orientales qui ont permis de faire du RN la première force politique du département, dans un contexte de participation exceptionnelle. Les quatre députées sortantes du RN vont pouvoir continuer leur travail au service de la population
Les électeurs du territoire ont démontré par leur vote leurs envies de plus de pouvoir d’achat, de plus de sécurité, de moins d’immigration, mais aussi de plus de services publics et de proximité. A Perpignan comme dans la ruralité, les électeurs nous ont fait confiance pour améliorer leur quotidien et ce résultat m’oblige.
Dans un département où la gauche dirige le département, le RN a réussi à mobiliser 57,20% des suffrages exprimés, avec des scores très impressionnants dans certains villages : 59,7% à Argelès-sur-mer, 63% au Barcarès, 66% à Bompas, 59% à Cabestany, 61% à Villeneuve-de-la-Raho, 71 % à Pollestres, 66% à Baixas, 64% à Saint-Estève, 58% à Elne, 58% à Espira de l’Agly, 58% également sur Toulouges.
A Perpignan, malgré la coalition de toute la gauche et du centre et le silence complice des Républicains, le RN obtient 53,89% des suffrages exprimés au second tour de ces législatives. Ce score montre qu’une implantation locale est un gage de réussite.
Outre ces résultats, je constate une totale déliquescence du personnel politique local, qui est allé soutenir la France Insoumise et sa cohorte de candidats antisémites, fichés S, antiflics, avec Europe Ecologie et sa foule de candidats anti-nucléaires, wokistes et autres partisans de la spoliation fiscale sans parler du Zan et de la loi SRU qui pénalisent le territoire et nos entreprises.
Nous l’avons vu, la gauche locale s’est déjà coalisée lors des élections régionales et départementales sans que cela n’apporte aucun résultat pour le territoire : disparition des services publics, aggravation de la pauvreté, creusement des inégalités, sectarisme, manque de transparence dans les affaires publiques, clientélisme, sabotage des projets structurants du territoire, aucune politique publique ambitieuse en faveur des quartiers, des pauvres, des jeunes, des séniors, de la santé…
Si les Pyrénées-Orientales sont l’un des départements les plus pauvres de France, c’est le bilan de Madame Malherbe et de Madame Delga. Donc au lieu de venir pérorer sur les actions des députées, Monsieur Monteil – qui venait dans les P-O pour faire baisser le RN ! – ferait mieux de faire preuve de retenue, tant les dégâts provoqués par la gauche locale au niveau social, sociétal et économique sont prodigieux. Sans parler du scandale des HLM en cours d’instruction.
Ces élections législatives ont eu le mérite de montrer le vrai visage de certains, qui se sont honteusement compromis avec l’extrême gauche, la violence, la décroissance, le communautarisme et l’islamisme radical.
Sauf autres élections anticipées, nous abordons les élections municipales 2026 avec optimisme et détermination.
Dans le 66 nous nous organisons en conséquence pour le département et les communes avec nos alliés LR (Ciotti) et les élus locaux soucieux de l’avenir de notre beau département”.
Louis Aliot, maire de Perpignan, 1er vice-président du Rassemblement National