En ces temps de « misères sociales », l’on peut s’étonner de ce que les médias ne manifestent pas plus de désapprobation à l’égard des mesures prises contre nos libertés !

Des chaines TV publiques, je n’en suis pas surpris car à la botte du pouvoir. En revanche, cela peut paraître plus surprenant de la part des chaînes de télévision privées… mais il est vrai que les intérêts financiers et les copinages font taire les langues.

Dernier rempart qui pouvait laisser une trace d’esprit de contradiction : la presse écrite. Malheureusement même celle des « bobos gauchos » reste muette ; habituée à s’effaroucher lorsque qu’un pet de travers vient menacer un brin de son espace d’action, sans doute préfère-t-elle s’acharner sur Donald Trump, symbole de l’antisystème et de l’anti-politiquement correct.

Bref, qui pour s’interroger ? Qui pour nous défendre ? Le « quatrième pouvoir » se serait-il mis en veille COVID-19 ? En grève de contestation ?

En attendant, voilà où nous en sommes :

-Il est interdit d’acheter des livres ou culottes, d’accéder aux bars et restaurants, de se déplacer sans son «ausweis», de respirer sans masque.

-par contre, vous pouvez payer vos amendes, fermer votre gueule, être égorgé.

Dans cette folie étatique, après l’entrée-plat-dessert, quelle sera la suite ? Pourra-t-on encore parler, écrire , questionner avant de mourir en paix ?

En ces temps qui s’apparentent à une partie de notre Histoire, il est fort heureux que le Rassemblement National ne soit au pouvoir car que n’aurait-on dit ou écrit…

 

Freddy Rabasse