Dans la famille Badia j’appelle Marie, la maman, Sophie, la fille, Emma & Nina-Louise, les petites-filles… et Mathias. Trois générations issues d’une famille, les (Marc) Badia, qui a contribué, généreusement et avec le formidable succès que l’on sait, au dynamisme commercial et économique de la station balnéaire Argelès-plage.
La Réserve : c’est l’une des maisons les plus anciennes, et forcément donc historiques, plantée sur le front-de-mer d’Argelès-plage, pile-poil au centre de la station balnéaire.
Le site, carrefour stratégique incontournable entre le rond-point de l’Arrivée, un débouché sur l’allée du Racou (ses prestigieuses demeures du siècle dernier) et le quartier des rues piétonnes commerçantes qui irriguent la fameuse et célèbre Esplanade Charles-Trénet – surnommé “Le Carré” par les autochtones -, est fréquenté quotidiennement par des dizaines de milliers de personnes en saison estivale.
La Réserve, autrefois hôtel, est une sorte d’établissement-couteau-suisse, avec ses diverses enseignes : un restaurant, une brasserie, un salad-bar, une cabane à cocktail, le lieu de tous les spectacles grâce à une clientèle diverse et originale, auréolé de concerts en été… ainsi qu’un glacier particulièrement attractif, La Gelateria, situé à l’entrée de l’allée piétonne Jules-Aroles. Un glacier qui, au niveau des goûts et des couleurs, des saveurs et des innovations, a souvent été précurseur.
Si l’on se fie aux seuls réseaux sociaux, vitrines touristiques Number One pour accélérateur de selfies, le comptoir à glaces de La Réserve est connu dans l’Europe entière. Il est vrai que La Gelateria peut aisément s’appuyer sur plusieurs décennies de présence, d’expérience… Nombre d’affaires florissantes très courues dans la station, et non les moindres, sont d’ailleurs tenues aujourd’hui par des boss qui ont fait leurs preuves ès-qualité de travailleurs saisonniers, sous les ordres conviviaux et très professionnels de Marie et Marc Badia.
La belle aventure familiale se poursuit in-situ, à la Gelateria, où les Badia de mère en fille et en petites-filles pérennisent la légende, grâce à une valeur ajoutée issue d’un savoir-faire unique sur le littoral roussillonnais. Comme on dit : un fleuron de l’économie touristique argelésienne qui va sans cesse de l’avant.
L.M.