Fernand Siré (UMP), maire de Saint-Laurent de la Salanque, vice-président de l’agglo de Perpignan (PMCA), député-candidat sur la 2ème circonscription des Pyrénées-Orientales ne décolère pas contre celles et ceux qui tentent de l’engluer dans une polémique politicienne, qui selon son entourage “n’a aucune raison d’être”…
Cet entourage tient à apporter les précisions suivantes : “Fernand Siré est élu avec l’étiquette UMP. Il n’a jamais été question ni pour lui ni pour tous ceux qui le soutiennent, de rejoindre le Front national. Ni de près ni de loin ! Fernand Siré a appelé à un Front républicain à Droite sur sa candidature, c’est vrai, mais dans le pur et strict respect des valeurs de la République. Les électeurs du Front national ne sont pas des parias et, que l’on sache, la République n’a pas exprimé le moindre interdit sur l’existence du FN. En tout cas, M. Siré n’a jamais téléphoné Mme Irina Kortanek, la candidate du FN qui s’est retiré alors qu’elle aurait pu se maintenir pour le second tour. C’est là son choix, cela relève de sa seule responsabilité. M. Siré n’a jamais rencontré M. Louis Aliot, donc il n’y a jamais eu le moindre arrangement entre eux. Nous mettons au défi quiconque d’apporter la preuve d’une démarche, d’un appel, d’un communiqué, dans ce sens. M. Siré veut être – et il l’est !!! – le candidat de tous les électeurs de droite qui veulent un élu qui les représente et qui défendra les valeurs humaines et politiques pour lesquelles il s’est toujours battu comme : la moralisation de la vie politique, l’opposition au droit de vote des étrangers, la limitation de l’immigration, une Europe des patries et une gestion rigoureuse des dépenses publiques (…). Tout le reste n’est que fantasmes et mensonges ! M. Siré n’a jamais passé le moindre accord avec le Front national. Ni à Paris, ni à Perpignan, ni à Saint-Laurent de la Salanque, ni ailleurs ! Il n’y a jamais eu la moindre négociation ni contre-partie en échange du retrait de la candidate FN“.