“Réponse aux geignements de Fabrice Rallo”

Sous ce titre, Clotilde Font-Gavalda, chargée du Commerce sur la liste Perpignan Ensemble de Louis Aliot (FN), nous prie d’insérer :

Monsieur Rallo, votre suffisance et votre prétention sans limites vous laissent supposer que seul votre cerveau ou celui de vos amis  est capable de réflexion ?

Avez-vous l’intention de revendiquer après coup toutes les idées des autres, en pleurnichant, comme vous le faites ?

Vos enfantillages n’amusent plus personne et vos jérémiades de cour d’école nous désolent.

Le  ridicule complot de l’homme masqué gardez-le pour vos amis, vous devenez pitoyable.

Les Perpignanais ne vous croient plus, ils ont tous les jours sous les yeux l’étendue du désastre que vous avez provoqué.

Gardez en tête que si nous travaillons d’arrachepied à des projets destinés à sauver le centre-ville de Perpignan, c’est parce que vous l’avez dévasté et sacrifié à d’autres intérêts.

Vous n’avez cessé de prendre des décisions désastreuses.

Monsieur Rallo, si vous aviez des idées cela se saurait  et cela se verrait depuis longtemps.

Je n’ai pas le plaisir de connaitre votre projet mais il était  temps que votre équipe se mette enfin au travail… dommage qu’elle ne l’ait pas fait avant !

Enfin, et si nous avons bien compris, votre « boite à trucs » s’appelle Perpignan 2020, alors rendez-vous en 2020 et d’ici là, laissez-nous travailler, au moins vous ne ferez plus de dégâts.

De grâce, Monsieur Rallo épargnez-nous vos jérémiades, elles sont indécentes.

Vous avez tué le centre-ville : Triste bilan… alors vos idées et vos projets non merci, gardez-les !

Et surtout,  ne nous faites  pas le coup du pompier pyromane.

Au fait, renseignez-nous, intervenez-vous en tant que directeur de cabinet démissionnaire du président de l’Agglo Jean-Paul Alduy (dont il se dit que vous auriez gardé les attributs même matériels), en tant que colistier de Monsieur Pujol (enfin nous avons un nom !), ou si ce n’est pas le cas en tant qu’employé d’une collectivité au service d’une campagne électorale ?”.