(Communiqué)

 

*Députée des P-O (3e circonscription), Sandrine Dogor-Such (RN), nous communique avec prière d’insérer :

 

-“A la suite du conseil communautaire la communauté Urbaine Perpignan Méditerranée Métropole (PMM), hier lundi 23 octobre dernier, et en réponse à la secrétaire générale déléguée des LR66 (Les Républicains), je tiens à apporter les informations suivantes.

Le 12 octobre dernier, lors de notre niche parlementaire, sur les sept propositions de loi proposées, seules quatre ont pu être débattues par leurs rapporteurs mais non sans persévérance.

Ces textes avaient pour objectif de répondre aux crises énergétiques, inflationnistes, migratoires, sécuritaires et sociales, auxquelles font face les Français et découlaient des engagements tenus par Marine Le Pen durant la dernière campagne présidentielle. Cohérentes et pragmatiques, ces propositions de loi (PPL) ont été pensées avec la volonté d’améliorer le quotidien de tous les Français et de rassembler tous ceux qui ont à cœur de défendre l’intérêt général, loin des querelles partisanes.

Pourtant la majorité relative et l’extrême gauche ont, une fois encore, fait preuve de mauvaise foi et de sectarisme idéologique en refusant de voter ces PPL. Quant aux LR, ils se sont illustrés par leur lâche absence évitant, ainsi, de voter certaines de nos propositions sur lesquelles ils avaient annoncé leur soutien.

La PPL visant à soutenir les femmes qui souffrent d’endométriose qui permet grâce à la création du statut d’affection à longue durée ( ALD) l’exonération des frais de sécurité sociale pour les 10% de femmes victimes d’endométriose, fut donc rejetée alors qu’elle aurait dû susciter l’unanimité des votes.

Pour écarter la PPL visant à supprimer ou à suspendre les allocations familiales pour les parents d’enfants criminels ou délinquants, nos adversaires ont versé dans l’amalgame fallacieux et honteux entre délinquance et pauvreté alors même qu’il était question de mettre un terme à l’impunité des mineurs mise récemment en lumière lors des émeutes de juin dernier.

Quant à la PPL visant à faire baisser la facture énergétique pour soutenir le pouvoir d’achat des Français et booster la compétitivité des entreprises, la Macronie et la NUPES l’ont rejetée.

Même sort réservé à la PPL visant à interdire l’écriture « inclusive » dans les publications scolaires et universitaires ainsi que dans les actes civils, administratifs et commerciaux. Là où il s’agissait d’interdire cette langue inclusive pour éviter de dénaturer notre langue française et surtout d’exclure encore plus les élèves de l’apprentissage de la lecture et de l’écriture, la NUPES n’a vu qu’un soi-disant sexisme qui n’existe que dans leur accusation.

Les Français s’en souviendront le 9 juin 2024, lors des élections européennes”.

 

Sandrine Dogor-Such (RN), députée de la 3e circonscription des P-O.