Françoise FITER (PCF), conseillère départementale, nous communique avec prière d’insérer :

“Dans son communiqué de presse sur le projet Patio de Comteroux, le maire de Perpignan s’enflamme pour défendre un dossier que personne ne veut, sauf lui !

A force de vouloir donner des bons -ou plutôt des mauvais points aux autres, le maire en perd le Nord, au point d’omettre que le nouveau canton sur lequel je suis élue, couvre une partie de Perpignan, dont le centre-ville ! Est-ce si difficile pour l’élu « Républicain » d’admettre la défaite de ses « poulains » sur ce canton, battus dès le 1er tour en mars 2015 ?

Par ailleurs, M. PUJOL parle de « mes » votes en faveur d’extension de projets commerciaux. Avant d’affirmer cela, je l’invite à se renseigner. Je n’ai jamais eu à émettre un quelconque vote concernant les surfaces commerciales. Cela ne m’empêche pas toutefois de m’exprimer librement sur tous les sujets concernant les habitants du canton.

Enfin, je pense utile d’engager une réflexion sur une utilisation alternative des locaux mentionnés, qui pourraient par exemple, accueillir des PME ou PMI, des associations ou structures à la recherche de locaux, plutôt que des activités commerciales concurrentielles”.

NDLR/ Petite précision géographique : le canton de Perpignan-3, modifié le 22 mars 2015 (à la suite du redécoupage cantonal de 2014), a été créé le 16 août 1973. Depuis cette date, le canton de Perpignan-3 a toujours englobé une partie de Perpignan, en l’occurrence tout le secteur de Saint-Gaudérique (Champ-de-Mars, Saint-Vincens…). Donc, forcément, le maire de Perpignan, sait que le canton de Perpignan-3 est à cheval sur sa commune et celle de Cabestany : ce n’est pas nouveau…