Dans un communiqué de presse remis entre autre à notre rédaction, l’étudiant en question, Charles G, écrit avoir été “victime le matin même d’une altercation avec le maire de Port-Vendres, Monsieur Marty Grégory. Lors de cette altercation, j’ai qualifié les infractions pénales suivantes : abus de position dominante, violences volontaires n’ayant pas entraînées d’ITT, mise en danger de la personne et de la vie d’autrui et diffamation privée. J’ai par suite souhaité déposer plainte pour ces infractions dont j’ai été victime près le COB de Port-Vendres. Monsieur l’Officier, sous couvert de directives obscures, a refusé de prendre cette plainte et de mettre par écrit ce refus en se fondant dès lors en droit (chose impossible puisque aucune directive ne peut aller contre la loi pénale depuis que le référé législatif a été abrogé). Or, il ressort de l’article 17 du Code de procédure pénale que « les officiers de police judiciaire (…) reçoivent les plaintes et dénonciations ». Il apparaît dès lors que la Gendarmerie, ici représentée par Monsieur l’Officier en poste à Port-Vendres a nié cette obligation régalienne de la procédure pénale”.
L’étudiant ne lâche rien. Il a décidé de saisir la hiérarchie militaire pour défendre sa cause.