“Ceux qui au Front National ou au Parti de Gauche, instrumentalisent et se disent solidaires du mouvement de grève dans les transports publics de Perpignan ne pourront pas justifier que les chauffeurs grévistes qui touchent dès la première année 2 600 euros bruts sur 14 mois, pénalisent lourdement l’économie locale, les déplacements scolaires, les habitants...