Le Calendrier de l’après est un texte atypique. Ce n’est pas un roman, ce n’est pas un essai (bien qu’il soit bien transformé), c’est autre chose… Un truc indéfinissable

 

L’auteur, Jacques Feraud, nous présente les fêtes de tous les saints (enfin, presque tous), leur vie et leurs calvaires – car la plupart d’entre eux ont été torturés et massacrés.

Il y a de multiples erreurs historiques (pas toutes involontaires), mais la verve littéraire nous pousse avec impatience à découvrir le jour suivant.

Jacques Feraud est né le 18 avril 1958, le jour de la Saint-Parfait. Il a fait ses études à Toulouse au lycée Pierre de Fermat (champion d’Académie de rugby en minimes en 1973) et a joué au Stade toulousain de poussin jusqu’en junior.

Agronome spécialisé en aménagement et mise en valeur des sols et des eaux superficielles de l’ENSAIA Nancy, il a fait sa carrière professionnelle à la Chambre d’agriculture du Roussillon.

Après avoir cartographié les terroirs viticoles du Roussillon, il s’est tourné vers la gestion de l’eau et a notamment fait partie du secrétariat technique des secteurs de référence irrigation et du comité technique d’Irrimieux.

Il a aussi fait partie du programme MEDA ISIMM, financé par l’Union européenne au cours duquel il a développé le concept du bassin déversant. Passionné par les livres depuis le siècle dernier et étant enfin à la retraite après une longue vie de labeur, il profite de son temps libre pour se lancer dans l’écriture de nouvelles originales.

Dossier de presse Calendrier de l’après