Anibal Damonte et Violeta Duarte.

Le trio Violeta Duarte en concert, samedi dernier, au restaurant “El bolomKi”, camping l’Equinoxe à Argelès-sur-Mer.

 

Samedi dernier, au camping l’Equinoxe, à Argelès-sur-Mer, de suite à droite après le Luna Park et le bowling Plaza Bowl sur la route de Saint-Cyprien, Anibal et Julien Damonte, père et fils, organisaient une soirée à l’ambiance very latina – dans l’assiette et sur scène – pour la réouverture de la table du avec forcément, évidemment, l’amicale complicité de l’artiste Violeta Duarte, l’Argentine de Buenos Aires installée depuis (presque) toujours, cela fait tellement longtemps, en Roussillon où sa voix, sa sensibilité musicale, font incontestablement (et c’est incontesté) et définitivement partie du patrimoine catalan

 

A l’extérieur, le long de la piscine, ambiance guinguette sur les bords de Marne…

Autour d’Anibal, cette soirée-là : Christine, Nina, Carla et Carla ; les amies avaient tenu à venir soutenir Anibal pour cette soirée latine lançant la saison estivale à la table de l’Equinoxe.

 

Que ce soit sur le ton de la mélancolie, de la fiesta, avec ou sans guitare, a capela ou dans l’énergie orchestrale d’une Victoire culturelle, sportive ou idéologique, dès les premières mesures du premier morceau qu’elle entonne, Violeta Duarte a le secret de sublimer toutes ses interprétations et, surtout, tous les auteurs qu’elle chante. Mais comment fait-elle ? Ce petit bout de femme au regard inoubliable est une bombe sur scène, un feu d’artifice dans un concert, héritière authentique, sincère et tranquille de la chanson latine, de toute la chanson hispanique.

Dans un même récital, elle est capable de réunir à la fois Mercedes Sosa, Célia Cruz, La Lupe et Gloria Lasso tout en s’imposant, parmi elles, au coeur d’un répertoire revisité, telle que LA reina de la cancion latina.

Bravo Violeta ! L’autre samedi, accompagnée de tes deux musiciens, auréolée des mots et des rythmes inséparables qui nous communiquent ta joie de vivre et d’espérer, qu’ils soient mélancoliques contemplatifs ou électriques, tu nous as encore et encore entraîné dans un firmament rempli de bonheur qui sonnait et résonnait comme des interludes… “La vie est là, Qui vous prend par le bras, Oh la la la, C’est magnifique !”

 

L.M.

 

En cuisine : Anibal, son fils Julien et Monica… en plein préparatifs de la feijoada, spécialité culinaire brésilienne qui a servi de plat central tout le long de cette soirée très estivale.

 

A l’intérieur aussi, dans la salle à manger face à la scène, les tables sont toutes réservées.

Natasha, Anibal et Violeta Duarte.