Une fois n’est pas coutume. C’est sous l’enseigne « db », qu’une société immobilière vient d’ouvrir ses portes dans le village. Elle est en fait, une succursale de « db » située à Perpignan. Un atout incontestable pour cette société. Marie Noëlle De Bénéditis, la propriétaire, réglera les problèmes d’expertises judiciaires et immobilières. Marie-Laure Besnier, bien connue dans le village, occupera le poste d’agent commercial-immobilier (location, ventes)

 

 

 

Et à Estagel, le travail ne manque pas. De nombreuses maisons, pour des raisons diverses, sont bien souvent inoccupées, principalement dans les quartiers anciens. Une occasion peut-être, en ayant un travail concerté, de travailler, pour que ces anciens quartiers ne deviennent pas des cimetières de logements vides. Dans certains endroits du village, ce travail réalisé par les particuliers, montre que cela est possible.
Si le local est en plein aménagement, un deuxième bureau doit être installé prochainement. Cette installation permettra d’accueillir dans les meilleures conditions, toutes celles et ceux qui voudront utiliser les compétences de l’agence. Pour tout contact : 06 44 01 14 68 – 09 70 71 73 20

 

 

 

Projet d’expositions d’oeuvres picturales

Mais Marie-Laure à une idée en tête liant incontestablement, le plaisir de vivre dans un chez-soi agréable et la culture, l’art. Il nous semble que ces choses vont bien ensemble. Donc, dans un laps de temps que nous espérons le plus court possible, nous aurons le plaisir d’admirer des tableaux d’artistes locaux et aussi venus d’ailleurs, ce qui ne peut qu’être enrichissant pour tous.
C’est ainsi que Georges Tournal a déjà déposé quelques Å“uvres. Georges vit à Calce. Renseignements pris, nous savons que son habitation est davantage une Å“uvre d’art qu’une maison. Nous vous le promettons. Nous irons lui rendre visite. Nous ferons ainsi plus ample connaissance et nous aurons le plaisir de vous faire connaître un artiste de renom.
Souhaitons une longue vie à cette nouvelle activité. Un développement harmonieux, et pourquoi pas, avec la création d’emplois en prime.

Joseph Jourda