L’une des très rares maisons à la vente à Argelès-plage (ici située Avenue des Mimosas, en bordure du bois de pins).

 

Selon la récente étude des Notaires de France parue ce week-end, dans l’enquête du Figaro Magazine*, sur le territoire des Pyrénées-Orientales c’est à Argelès-sur-Mer (+6% et +5%), Le Barcarès (+9,7% et +3,6%) et Perpignan (+6,7% et +1,8%), s’agissant respectivement de la vente d’appartements anciens et la vente de maisons anciennes, que les dernières transactions immobilières connues seraient les plus à la hausse

 

 

Certes, côté ventes de maisons anciennes sur le sol roussillonnais, la commune de Canet-en-Roussillon reste leader avec une transaction moyenne estimée à 270 000€, mais en net recul à -3,6%. La ville de la côte radieuse est désormais talonnée par le chef-lieu de la côte vermeille, Argelès-sur-Mer, qui progresse avec un coût moyen désormais de 250 000€, soit +5%. Entre ces deux communes, Saint-Cyprien est, si l’on peut dire, larguée, à 230 000€ en moyenne, soit -3,6%. Loin derrière, se trouve Perpignan, en-dessous de la barre des 200 000€, plus précisément à 198 000€, mais en progression de près de 2%.

Du côté de la vente d’appartements anciens, toujours dans les P-O, c’est dans la commune de Font-Romeu-Odeillo-Via (Cerdagne) que la hausse est, de loin, la plus spectaculaire, +11,5% (à 2 730€ le m²), suivie du Barcarès, +9,7% (à 3 090€ le m²) et de Saint-Cyprien, +7,2% (à 3 610€ le m²).

 

L.M.

*Figaro Magazine ; N° 24752 & 24753 datés des 22 et 23 mars 2024)

 

Sur les hauteurs de Collioure, en arrivant par la corniche (Argelès-sur-Mer) et en descendant vers le village.