(Communiqué)
Nathalie Denis, conseillère municipale Ville de Claira, nous communique avec prière d’insérer :
#Agissons… mais ce sera sans moi : quand la Démocratie devient une farce !
-“A propos de mon départ de l’association #Agissons…
Aujourd’hui, je souhaite clarifier les raisons de mon départ de l’association #Agissons. Vous allez voir, c’est un mélange de tragédie et de comédie.
Tout commence avec une belle usurpation d’identité, orchestrée par l’ancien vice-président du mouvement. Étant administrateur de tous les groupes, il a d’ailleurs pris soin de me supprimer partout. Pourquoi ? Pour être sûr de donner sa version des faits avant moi, et bien entendu, sa version ne ressemble en rien à la réalité ? Mon droit de réponse ? Aux oubliettes. Démocratie, vous dites ? Je vous laisse juger…
Ce monsieur a décidé de se mettre officiellement en retrait, mais rassurez-vous, il reste bien derrière les manettes, continuant de gérer la communication de #Agissons dans l’ombre. Et là , c’est le moment où je deviens gênante car en restant presente je l’empêche de revenir physiquement.
Mais… il y a toujours un “mais”. Trois petits soldats, visiblement bien “briefés”, se sont mis en tête de me prendre à partie, et pas qu’une fois, mais à deux reprises ! Avec une agressivité tellement spectaculaire qu’on aurait dit un concours de théâtre. Et tout cela sous les yeux ébahis des autres membres.
Certains ont tenté de me défendre, mais la performance hystérique de l’une d’entre elles a rapidement volé la vedette. Le président ? Spectateur muet, il n’a pas levé le petit doigt. Laissez-moi vous dire, cette réunion aurait mérité une nomination aux Oscars.
Le moment fort de la soirée ? Quand l’une de mes assaillantes m’a sorti que “une association et un parti politique, c’est la même chose”. Que répondre à cela ? Sinon un grand “Ah bon, d’accord !” ? Et puis, pour enfoncer le clou, elle m’a expliqué qu’on n’avait pas le droit d’avoir des idées proches d’un parti, même sans y être officiellement adhérent. La liberté de pensée ? Apparemment, ça leur parle autant que le dernier discours de Kant.
En résumé, chez #Agissons, ne surtout pas penser par soi-même ou avoir des idées politiques, sous peine de finir sur le bûcher avec option marshmallows grillés ! Mais usurper des identités ? Pas de souci, c’est validé !
Mais bon, que tout ce petit monde soit rassuré, je pars ! Je ne perdrai plus une minute de plus avec des personnes qui n’existent que par la polémique. Moi, je préfère travailler concrètement pour ce département que j’aime vraiment.
Heureusement, dans cette jungle, j’ai rencontré des gens formidables à #Agissons, avec de vraies valeurs humaines. Vous savez, ceux qui comptent vraiment. J’espère garder contact avec eux – sauf évidemment si « papa et maman » le leur interdisent, bien sûr -, mais rassurez-vous, je ne leur demanderai pas de carte d’adhésion, ouf !
Alors comme dirait l’autre, “Sempre endavant”, mais sans #Agissons cette fois-ci. Et comme vous l’aurez compris, le dernier qui éteint la lumière, ce ne sera pas moi !”.
Nathalie Denis, victime d’usurpation d’identité (dont l’auteur est l’ancien vice-président de #Agissons)