Cette semaine, douze restaurateurs ayant pignon sur le centre-ville de Perpignan se sont réunis en conclave dans les salons de la brasserie Le Vienne, place Arago, en présence de certains médias et du très populaire maire-adjoint de la Ville, Charles Pons, pour déplorer le “désengagement” de la Municipalité dans le calendrier des animations estivales en centre-ville

 

Aux yeux de ces douze restaurateurs perpignanais, parmi les plus (re)connus de la ville, la Municipalité aurait donc abandonné, délaissé en tout cas l’animation du coeur de ville pendant la période d’été. Ils citent très étonnamment l’exemple des “Jeudis de Perpignan”, qui n’ont donc plus lieu, considérés pourtant dans une large partie de l’opinion publique perpignanaise comme un rendez-vous “des plus ringards”*… et dont ces dernières années l’affluence événementielle du public “fondait comme neige au soleil”, selon le témoignage aveerti d’un conseiller municipal, très présent sur ce terrain, dont les analyses touristiques et économiques sont traditionnellement parmi les plus pertinentes.

Nous avons voulu savoir comment, ailleurs sur le territoire national, sont gérées les animations estivales des coeurs de ville (qui remplissent les terrasses des cafés-restaurants…).

Bien souvent, il apparait que le dynamisme repose essentiellement, pour ne pas dire exclusivement, mais également à partir de partenariats innovants, sur une aide apportée et générée par les organisations professionnelles du secteur, ainsi bien évidemment que par le tissu associatif.

Localement, il y a peut-être là, certainement même, de nouvelles pistes à explorer… à la condition que chacun(e) – et pas toujours les mêmes – accepte de mettre la main à la poche (le nerf de la guerre). Les seules (et nombreuses) captures d’écran que nous publions ci-dessous consolident cette affirmation…

 

L.M.

*Lu sur les réseaux sociaux…

 

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