(Vu sur la Toile)

 

(Capture d’écran sur les réseaux sociaux)

 

Alain Ferrand (DvD/ Divers Droite) demeure un maire en exil, puisque toujours interdit de séjour dans sa commune, Le Barcarès, par décision de justice

 

Il doit donc faire en fonction de ses moyens  – les frais d’essence sont logiquement pris en charge, comme les frais d’avocats, par le contribuable barcarésien -, pour continuer d’excercer son mandat au nom de ses concitoyens (qui l’ont élu rappelons-le).

Alain Ferrand est par ailleurs 1er vice-président de la communauté Urbaine Perpignan-Méditerranée Métropole (PMM), dont chacun sait désormais que l’Hôtel de l’Agglo s’impose comme la scène théâtrale Number 1 du Pays catalan, ou plutôt comme le podium des apprentis comédiens, surtout depuis que son ami l’ex-sénateur-maire de Le Soler, François Calvet, se morfond dans sa triste retraite, veut y écrire ses futures saynètes (prononcer scénette comme zézette)…

Alain Ferrand a donc choisi de s’inviter à la table du Palais consulaire de la Chambre de Commerce et d’Industrie des Pyrénées-Orientales (la CCI66), Quai de Lattre-de-Tassigny à Perpignan, pour tenir une sorte de séance publique du Conseil Municipal du Barcarès qu’il préside.

Plutôt insolite, certes, mais reconnaissons que l’élu nous a souvent habitué à des décisions et comportements originaux, pour le moins. Un détail toutefois a attiré notre attention à la rédaction : on dit (et on écrit) la Chambre de Commerce, et pas la Chambre deS CommerceS

En même temps, nous connaissons tous les inénarrables ambitions du personnage. Y’aurait-il un soupçon de l’influence du majordome là-dessous que cela ne nous étonnerait pas.

 

L.M.