(Communiqué)

 

 

Communiqué de presse de Louis Aliot et Carla Muti, conseillers départementaux RN (Rassemblement National) des Pyrénées-Orientales, à propos du Plan départemental 2025-2028 de lutte contre le racisme, l’antisémitisme et la haine anti-LGBT : l’hypocrisie d’une gauche qui pleure les effets des causes qu’elle chérit”

 

 

-“Le Département des Pyrénées-Orientales a récemment adopté un nouveau plan de lutte contre le racisme, l’antisémitisme et la haine anti-LGBT pour la période 2025-2028. Derrière des intentions affichées comme louables, ce texte s’inscrit dans la lignée des déclarations creuses, inefficaces et déconnectées de la réalité promues par la majorité socialo-communiste.

En refusant obstinément de nommer les véritables causes de ces fléaux, la gauche départementale se rend coupable d’un aveuglement idéologique gravissime.

Car qui, aujourd’hui, menace les Juifs de France dans leur quotidien ? Qui pousse les homosexuels à fuir certains quartiers ? Qui attise les tensions communautaires ? Ce ne sont ni les retraités ni les électeurs du Rassemblement National. Ce sont des franges radicalisées, souvent issues de l’immigration récente, porteuses d’une vision du monde profondément hostile à nos valeurs républicaines.

La montée de l’antisémitisme en France est étroitement liée à la progression de l’islamisme, comme l’attestent de nombreuses études, notamment la radiographie annuelle de l’antisémitisme en France de la Fondapol. L’explosion des agressions homophobes s’observe particulièrement dans les zones où l’immigration massive a importé des cultures hostiles aux droits fondamentaux. Et les tensions ethniques croissantes sont la conséquence directe de décennies de laxisme migratoire et de renoncements républicains.

Plutôt que d’affronter ces réalités, la gauche préfère signer des chartes et multiplier les comités pour se donner bonne conscience, tout en fermant les yeux sur la violence qui monte, les ghettos qui s’étendent et la République qui recule.

Cette hypocrisie atteint son paroxysme lorsque l’on se rappelle qu’aux élections législatives de 2024, la gauche départementale – Parti socialiste et Parti communiste en tête – s’est alliée, avec la droite et le centre, à La France Insoumise pour tenter de faire barrage à Jordan Bardella. Une coalition de circonstance avec une formation dont les prises de position sur l’antisémitisme depuis les massacres du 7 octobre sont, au mieux, ambiguës, au pire, complaisantes. En prétendant défendre les valeurs républicaines tout en pactisant avec les fossoyeurs de la République, cette union contre-nature a définitivement levé le voile sur le cynisme politique de ses promoteurs.

Mais les Français ne sont pas dupes. Ils ont bien compris que le Rassemblement National est aujourd’hui leur seul véritable bouclier face à l’antisémitisme, au racisme et à l’homophobie. Cette réalité est désormais reconnue jusque dans les milieux longtemps hostiles au RN. Ainsi, Serge Klarsfeld – figure historique de la mémoire de la Shoah – à qui j’ai eu l’honneur de remettre la médaille de la ville de Perpignan, a déclaré l’année dernière : “Je voterais pour le Rassemblement national parce que (…) l’axe de ma vie, c’est la défense de la mémoire juive, la défense des juifs persécutés, la défense d’Israël et que je suis confronté à une extrême gauche qui est sous l’emprise de la France insoumise avec des relents antisémites et un violent antisionisme”

Face à l’impuissance organisée, aux trahisons politiques et à l’aveuglement idéologique, les conseillers départementaux du Rassemblement National des Pyrénées-Orientales réaffirment leur engagement pour une République forte, une société apaisée et une France fidèle à son identité. Nous ne nous contentons pas de signer des chartes : nous voulons des actes, une politique de fermeté et de clarté, au service de tous les Français”.

 

Louis Aliot et Carla Muti, conseillers départementaux RN des Pyrénées-Orientales