(Communiqué)

 

 

Louis Aliot, maire de Perpignan et ses nombreux amis catalans seront présents vendredi 25 novembre à Perpignan à Église Saint Matthieu à 9H pour rendre à Kévin Cormillot un dernier hommage

 

« Kévin était la gentillesse même. Qui saura nous apprendre, autant que lui, à devenir des « missionnaires » du nouveau millénaire ? Tellement de défis à relever, tellement de peurs à surmonter, et si peu de modèles à imiter. ». C’est par des mots plein d’émotion qu’André Bonet, adjoint au maire de Perpignan en charge de la Culture, a réagi à la disparition de Kévin, jeune militant RN (Rassemblement National), mort d’un cancer à l’âge de 26 ans. Sa disparition a suscité une vive émotion dans la France entière. Mais du côté de LFI (La France Insoumise), Allan Brunon, assistant parlementaire d’un député LFI a insulté sa dépouille en publiant un tweet ignoble. Kévin est mort jeune et il mérite le respect. Marine Le Pen et Louis Aliot ont présenté leurs condoléances à sa famille. Brunon cet insoumis sans cœur a donc tweeté ce qui suit : « Kévin Cormillot est allé rejoindre en enfer les Waffen-SS, fondateurs du Front National ». La vulgarité et l’indécence à leur comble ! Puis ayant craché sa petite saloperie, il a effacé son tweet. C’est cette « extrême gauche », une caricature de sectarisme, que Kévin a dénoncé durant sa courte vie militante qu’il a vécu intensément. Les jeunes gens de notre époque ont besoin de modèles justes. Puissent-ils être nombreux à s’inspirer du message que leur laisse Kévin. Un message d’amour et de fraternité.