(Communiqués)

 

Sabine Pouliquen, présidente de l’association “Mar i Mun”, communique…

“Mar i Mun” outragée, “Mar i Mun” bafouée, “Mar i Mun” injuriée, mais “Mar i Mun” innocentée…

Il y a quelques mois, l’association “Mar i Mun” s’insurger dans la presse contre les cabanisations, plus précisément, sur une l’une d’entre elle réalisée par une conseillère municipale de Saint-André.

L’ancien maire de la commune s’était alors insurgé et avait démenti les faits dans un communiqué ; le maire actuel de Saint-André quant à lui avait décidé d’ester en justice et faisait comparaitre l’association “Mar i Mun” en correctionnelle pour « diffamation ».

Deux conseillers et le maire avaient également monté un dossier en nom propre, s’époumonant “Que la commune ne pouvait passer outre ces accusations, que l’association fabulait, que sa présidente était une affabulatrice et que la vérité devait être rétablie”.

La commune a été exaucée, avant-hier vendredi 13 septembre 2024, le jugement est tombé et l’association a remporté les deux affaires : le tribunal correctionnel de Perpignan a jugé irrecevable les deux dossiers déposés contre “Mar i Mun”, la vérité est donc rétablie.

Dossiers incomplets, montés de bric et de broc pour les attaquants, face au dossier de l’association contenant plus d’un an d’investigations, en collaboration avec des administrations de l’Etat, un constat d’huissier et un retour des instances judiciaires signifiant qu’aucune action n’avait été entamée par la commune contre cette cabanisation malgré le constat reçu par les autorités compétentes (…)”.

 

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La Municipalité de Saint-André, par la voix de son maire, Samuel Moli, n’a pas tardé à réagir :

“Ladite association persiste dans sa calomnie puisque il faut savoir que le fond du dossier n’a pas été abordé par le tribunal correctionnel de Perpignan. Ladite association n’a été innocentée en rien. Celle-ci a préféré soulever une question de procédure pour éviter d’avoir à prouver la véracité de ses allégations, ce qu’elle est incapable de faire. Le tribunal correctionnel de Perpignan a fait droit au vice de procédure, permettant ainsi à l’association “Mar i Mun” d’échapper au débat et d’assumer la responsabilité de ses propos. Quel courage de la part de ladite association !”.