Si la capacité d’un mode de vie stimulant à retarder le déclin cognitif de la maladie d’Alzheimer est bien établie depuis une quinzaine d’années, les mécanismes neuronaux à l’œuvre restaient à découvrir. Une nouvelle étude, impliquant le Centre de recherches sur la cognition animale (CRCA CBI, CNRS/Université de Toulouse), montre que des stimulations environnementales préservent la mémoire chez des souris atteintes de la maladie en modifiant durablement des neurones de l’hippocampe. Les résultats ont été publiés dans iScience, le 19 septembre :