Jojo, pour les intimes. Pour l’état-civil, Georges Cambon, qui était exilé depuis des lustres, dans la région parisienne. Son âme, ses pensées, ses amis, sont toujours restés à Estagel, dans la vallée de l’Agly, aux pieds du fleuve du même nom où il aimait tant s’adonner aux plaisirs de la pêche, parfois, disons le,...