(Vu sur la Toile)
(Capture d’écran CNews – Aujourd’hui vendredi 10 mai 2024 – Journal télévisé de 08H 00).
“Un carnage” : excréments, cagettes à légumes, nÅ“uds dans le pelage… des dizaines d’animaux maltraités ont été sauvés d’un élevage
(Article de Mégane Fernandez Huet – Rédaction du quotidien régional Midi Libre)
Quotidien régional Midi Libre.- Lundi 6 mai 2024, 54 chiens, six chats, des tortues et un oiseau ont été saisis à Elne, près de Perpignan. Ils étaient détenus dans des conditions d’hygiène lamentables. Ils ont pu repartir dans plusieurs associations de défense des animaux.
Ce lundi 6 mai 2024, plus d’une cinquantaine de chiens, plusieurs chats, des tortues et un cacatoès ont été saisis, après un signalement, dans un élevage non déclaré à Elne. Sur place, les animaux vivaient dans des cages pleines d’excréments, sans eau ni nourriture. Des vieux chiens ont été retrouvés sans soins.
Des conditions déplorables
-“Les animaux avaient des nÅ“uds dans le pelage, preuve qu’ils étaient sans soins. Il n’y avait pas d’eau, pas de nourriture. Les parcs étaient remplis d’excréments. Les chiens dormaient dans des cagettes de légumes. Les litières des chats débordaient d’excréments…. Le cacatoès était complètement déplumé à cause du stress”, raconte Marina Pastou Santacroce, gérante du refuge de Céret.
“Quand j’ai vu le carnage, j’ai appelé la direction départementale de la protection des populations qui, après avoir visionné les photos, m’a donné l’autorisation de les saisir”, ajoute Marina Pastou Santacroce.
Plusieurs associations de défense des animaux
Les associations de défense des animaux contactées ont saisi exactement cinquante-quatre chiens, dont 19 chihuahuas et 34 chows-chows, six chats, dont des ragdolls, Huit tortues et un cacatoès. “J’ai fait appel à tous les refuges du département. La SPA de Torreilles, celle de CAP Perpignan, le refuge canin d’Ille-sur-Têt, celui de Canet, et un Gîte une Gamelle sont venus pour m’aider à les récupérer”, poursuit Marina Pastou Santacroce.
Les animaux ont été placés dans différentes structures pour y être soignés correctement.
(Source quotidien régional Midi Libre)