Oh là, là ! Ça chauffe sous le burnous. Il est grand temps de se mettre à l’ombre et de faite marcher le « galet ».
Ainsi, avons-nous connu, pour les plus anciens, la série Maurin des Maures.

Les Maures étant un massif proche de l’Esterel. Proches, mais si différents pourtant ! Autant confondre le mont Canigó avec le mont d’Estagel. Autant confondre le coronavirus avec l’inflammation du gros orteil dû à une crise de goutte. Autant confondre Francisco Ferrer (ce nom a été donné à la place de l’église du village), né le 10 janvier 1859 et fusillé le 13 octobre 1909, libre penseur, libertaire, franc-maçon et pédagogue espagnol, avec le maire de notre commune (qui porte le même nom). La date du 10 janvier nous interroge pourtant. Elle est la même que celle de votre serviteur. Mais là encore, rassurez-vous, positivement ou négativement, rien à voir.
Je ne vous donnerai pas le nom de la page du réseau sur laquelle vous pourriez trouver les bizarreries qui vont suivre. Nous sommes trop soucieux de votre santé, nous tenons trop à votre amitié, pour vous faire courir le risque d’un infarctus que vous pourriez contracter à force de vous tordre de rire.
Ainsi, sur cette page, une confusion est entretenue, nous pensons d’une manière involontaire, entre deux personnes portant le même nom.
Il est question de monsieur Ivan Morin, architecte de l’agence AGENA située à Perpignan 16, rue Jean Reboul. Ce dernier est diplômé de l’école d’architecture de Bordeaux et a 48 ans. Il travaille bénévolement depuis deux ans avec Pierre Contet, tête de liste d’Estagel 21, pour envisager un autre devenir architectural de la cité. Il était présent lors de la promenade urbaine de samedi dernier.
L’autre Morin, de son prénom Bruno, est architecte du patrimoine et son cabinet est à Thuir. Les deux, sont aussi différents physiquement, que le mont Canigó et le mont d’Estagel cités ci-dessus.
La confusion n’est pas possible.
Ce dernier, pour des raisons qui ne nous regardent pas, dans l’impossibilité de faire avancer le dossier sur l’église dont il avait pris la charge, a passé le relai à une collègue, Mme Serra. C’est ainsi que les choses se passent en toute responsabilité, en tout bien, en tout honneur.
Pour conclure, Ivan Morin qui, bénévolement, participe au projet « un autre devenir pour Estagel » avec Pierre Contet, n’a absolument rien à voir avec Bruno Morin architecte de son état également.
Un homme se grandit à reconnaître ses erreurs dit le philosophe. Est-ce que nous pourrons vérifier cette maxime pour ce fait qui reste anodin ?
A vouloir trop emprunter des chemins tortueux, le risque est élevé de se noyer dans un verre d’eau fût-elle naturelle et biologique.
A méditer.

Joseph JOURDA