Ce doit être une première en France : conseillère générale sortante sur le canton perpignanais du centre ville, Veronique Vial-Auriol n’arrive toujours pas à trouver une piste d’atterrissage (lire ici un canton), alors qu’elle est candidate à sa propre succession.
– “C’est effectivement un cas qui doit être unique”, reconnait-on à l’UMP’66, “mais nous continuons de chercher une solution”. Preuve en est : hier soir, l’UMP’66 l’a investie… mais on ne sait toujours pas où !
Cela frise désormais le ridicule… Devra-t-on affubler Véronique Vial-Auriol du statut de réfugiée politique, dans l’enclave de Llivia ? Ou, peut être, créer un canton pour elle qui pourrait être “le canton des Roussillonnais de l’étranger” ?
À suivre.