Julien Leonardelli (FNJ’66).

La fédération départementale du Front national des Pyrénées-Orientales (FN’66), nous communique avec prière d’insérer :

“C’est avec plaisir que le FNJ66 en la personne de son responsable, Julien Leonardelli, a accepté de participer à un débat entre jeunes politiques de notre département.

Dès leur première réunion pour décider des sujets à aborder, la haute teneur de ce débat s’était dessiné et les aînés dans la Salle des Libertés hier au soir, ne furent pas déçus.

Les quatre débatteurs, chacun à leur tour et sans interrompre celui qui parlait, ont porté haut et fort ses convictions.

En préambule, Julien reprocha l’abstention de ses aînés.

L’éducation fut abordée.

Pendant que ses adversaires ne traitèrent que la phase des études à l’Université, Julien parla de l’instruction nationale dès le primaire, l’éducation étant réservée aux parents.

Pour lui, l’instruction doit retrouver ses fondamentaux par la transmission du savoir et le combat contre l’illettrisme, revenir à la vraie morale à l’école. Chacun sait que nombre d’élèves entrant en 6° ne savent ni lire  ni écrire couramment et ne pas leur « farcir » la tête avec la théorie du genre,  dernière invention enseignée dans les petites classes.

Quant à l’emploi, Julien fait remarquer que l’Université  est une usine à chômeurs et l’apprentissage doit retrouver la notoriété qu’elle a perdue. Un élève qui ne veut pas faire d’études et qui a des doigts d’or est capable d’exercer le métier qu’il désire, trouver un emploi : les offres d’emplois en boulangerie, boucherie, plomberie, par exemple, ne manquent pas.

Puis la parole fut donnée aux participants qui posèrent de nombreuses questions, parfois assez dures, sur l’avenir de nos jeunes qui, malgré cette avalanche de questions répondirent avec calme.

Les jeunes démontrèrent qu’ils pouvaient faire de la politique « autrement » que leurs aînés et Julien regretta l’absence de certains medias départementaux, concluant que l’avenir des jeunes ne devait pas les intéresser !”.