Communiqué de presse.

 

 

“Le chômage progresse encore ! La faute à qui ?

 

Alors qu’il stagne nationalement (-0,7 %) et qu’il progresse légèrement sur la région (+0,1 %), le nombre de demandeurs d’emploi sans activité grimpe de 1,2 % dans les Pyrénées-Orientales.
Et il y a bien des responsabilités ! La politique menée n’est pas la bonne et nos payons cash les mauvais choix ou les absences de choix !
La présidente de région, condamnée ce jour pour discrimination politique, fait sa communication mais ne fait pas grand chose pour la stratégie économique. D’ailleurs a t elle seulement eu une idée en économie dans l’exercice de ses mandat ? Elle dirigeait le service ruralité à la Région sous Malvy, la ruralité se meurt. Elle a été ministre des entreprises et a connu le chiffre le plus élevé de faillite en une année ! Et maintenant qu’elle est présidente de région, sa tête a tellement enflée, qu’elle ne pense qu’à sa Com et à sa réélection mais peu au reste !
En ce qui concerne le département socialiste, communiste et écologiste des PO, c’est aussi la bérézina sociale. Le sectarisme et le clientélisme ont ses limites. Dans l’état actuel des comptes et des finances moroses, arroser les copains ne fait plus une politique comme à la grande époque de feu Bourquin-Frêche. Aucune vision, aucun projet. C’est tellement vrai qu’on se demande si le département existe encore.
Enfin la communauté urbaine de Perpignan et la mairie paient le système Alduy-Pujol-Bourquin des vingt dernières années, son gaspillage et son manque de vision économique, sans parler des affrontements stériles qui auront ruiné les intérêts locaux et le moral de beaucoup d’investisseurs ou de chefs d’entreprises.
Je ne cesse de le répéter, le chômage et l’atonie économique, ici plus qu’ailleurs, sont le produit de l’héritage, du clientélisme et de l’aveuglement de la classe politique de droite comme de gauche.
Il faut en sortir.
C’est par une stratégie ambitieuse bâtie autour de nos entreprises, de nos commerçants, de nos agriculteurs et de nos artisans que nous réussirons à relever ce défi. Et ce dans tous les secteurs de l’économie.
Mais c’est aussi en défendant nos services publics de proximité que nous répondrons aux attentes de nos concitoyens et rétablirons le lien de confiance entre administrés et décideurs.
Ces élections municipales seront l’occasion de préciser notre projet de territoire et de développement économique, écologique et social”.