La scène est véridique. C’est d’ailleurs l’un des protagonistes qui la raconte en public et qui en fait ses choux gras ès-qualité de conteur dès qu’il se (re)trouve face à un auditoire. Et il faut bien l’admettre, le reconnaître, l’anecdote fait mouche dans le public…

Il paraît, à ce qu’il parait en tout cas, que le 25 septembre 2011, lors des élections sénatoriales, entre les deux tours plus précisément, dans le bureau de Jean-Marc Pujol (UMP/ maire de Perpignan, place de la Loge très exactement : on apprend que Jean-Paul Alduy (Parti radical), président de l’agglo PMCA et 1er adjoint de la Ville de Perpignan, alors sénateur sortant mais en ballotage très défavorable, aurait fait l’incroyable proposition suivante à François Calvet (UMP), député-maire de Le Soler et candidat à ces sénatoriales : “Nous n’avons qu’à tirer à la courte paille celui qui restera au second tour…”. Bien entendu, François Calvet a refusé. Catégoriquement. Amusant, non ?