“Une rentrée dans un climat d’insécurité inquiétant

au sein d’un Etat de droit déliquescent !”

Louis Aliot, vice-président du FN, conseiller régional des P-O.

 

Me Louis Aliot, vice-président du Front National (FN), conseiller régional des P-O et tête de liste Perpignan Ensemble aux prochaines élections municipales, communique :

“Plusieurs syndicats professionnels de la police et de l’administration pénitentiaire de notre département viennent de mettre en garde les pouvoirs publics sur la situation désastreuse qui frappe la sécurité publique et donc sur les menaces qui pèsent sur nos concitoyens.

 

Du coté de la Police, désormais va être mis en place des sondages de satisfaction sur la sécurité qui ne vont qu’alimenter le climat de suspicion permanente qui pèse sur nos force de l’ordre. Le port d’un nouveau matricule, les caméras piétons, la saisine directe de l’IGPN sur le net va contribuer à la dévalorisation de la profession, à sa paralysie et à un effondrement de l’Autorité de l’Etat. Au bout du compte, le voyou pourra mieux se défendre que les victimes…

 

Du côté de la pénitentiaire, la situation déjà chaotique s’aggrave. « Des surveillants usés »  par des manques de moyens humains chroniques, une surpopulation scandaleuse et inhumaine, et des agressions de plus en plus violentes conduisent le personnel à un ras le bol bien compréhensible.

 

Alerter les députés, c’est bien, mais alerter l’opinion c’est mieux. Car les députés aux ordres de leurs partis au pouvoir, PS aujourd’hui, UMP hier, sont responsables de cette situation et ne pourront faire aujourd’hui, ce qu’ils n’ont pas réalisé hier.

 

Ce laxisme d’Etat, sous les réformes Dati ou Taubira, cette impunité ressentie par les voyous et même encouragée par cette culture de l’excuse permanente ne font qu’aggraver les problèmes et mettent en péril la paix civile et la sécurité publique. Les criminologues français parlent désormais de «  terrorisme de rue» avec des groupes organisés capables de défier la Police et de peser sur le climat des prisons.

 

Cette faillite a des responsables qui ne sont pas les professionnels, mais les politiques.

 

Nous sommes les seuls à avoir le courage de dire la vérité, d’avancer des évidences et d’avoir la volonté réelle de résoudre ce problème dans le cadre des Lois de la République”.