De source généralement bien informée – mais non autorisée – ce mardi 10 novembre, veille de la commémoration de l’armistice, Robert Vila (LR/ Les Républicains), président de la communauté Urbaine Perpignan-Méditerranée Métropole (PMM), président de l’Office Public d’Habitat Perpignan-Méditerranée (OPH-HLM), maire de Saint-Estève, conseiller départemental, a fait la paix avec deux de ses proches conseillers communautaires délégués, Roger Ferrer (PFF), maire d’Estagel, et Bruno Valiente (NI/ Non Inscrit), maire de Calce, 1er vice-président du Syndicat départemental de transport et de traitement des ordures ménagères des Pyrénées-Orientales (SYDETOM’66).

On se souvient que le président de PMM leur avait retiré délégations, signatures et indemnités. Il leur avait été reproché leur désobéissance lors de l’élection du président du SYDETOM’66… A partir d’aujourd’hui tout est rétabli, “leur réhabilitation est effective et sincère”, selon un témoignage ultra confidentiel.

A l’évidence, les réactions de Jean-Paul Billès (NI), maire de Pézilla-la-Rivière, et de Jean Vila (PCF), maire de Cabestany, encore très influents dans l’arène politique communautaire, ont porté leurs fruits tant elles auraient pesé dans la décision de Robert Vila. “Et c’est tant mieux ainsi !”, se félicite l’un de nos correspondants intra-muros.

Egalement dans le collimateur du Président Robert Vila jusqu’à ce jour : Alain Got, maire de Saint-Laurent-de-la-Salanque, et son adjoint intouchable (parce qu’il ne siège pas à PMM) Jean-Louis Aliet ; ils ne seraient plus désormais en disgrâce. Ouf ! Ils doivent enfin respirer à pleins poumons, un atout non négligeable en cette période de pandémie du coronavirus, et surtout à la veille d’un grand défilé ; ça marche !

Bref, tout est bien qui finit bien.

 

L.M.