« Lorsque Jean Marc Pujol a souhaité ouvrir sa liste en 2014 à diverses personnes engagées politiquement, Il a suggéré d’intégrer Olivier Amiel, élu sortant d’une liste opposée.

J’avais alors émis des doutes au regard de l’engagement fort de l’intéressé mais il m’avait été alors expliqué qu’il rejoindrait notre équipe dans l’unique but de travailler pour Perpignan.

Il a effectivement montré son engagement et a su pendant plus de cinq ans apporter son intelligence ,son travail, mais aussi son esprit critique.

Responsable et engagé, il a veillé à l’égalité, la transparence.

Ses interventions au conseil municipal ont toujours loué l’honnêteté de l’équipe dans laquelle il était et il a su défendre avec conviction et efficacité le Maire et notre travail.

Siégeant à mes côtés au conseil d’administration de l’office HLM avec une parfaite assiduité, il a toujours approuvé les résolutions proposées sans jamais manifester une quelconque crainte quant à la gestion . Ses préoccupations légitimes de respect de la démocratie ont été satisfaites et il n’a pu que s’en féliciter.

Comment peut il aujourd’hui se plaindre de confusion des genres et de pratiques clientélistes.

Nous avons vécu 5 années côte à côte satisfaits des décisions collectives , de la vision du maire et des travaux des fonctionnaires.

Je ne veux pas croire que nos destinées, séparées par l’ambition politique soient à ce point éloignées.

Quel mauvais génie peut bien conduire un homme à détester aujourd’hui ce qu’il a adoré hier ?

Je comprends que la rancœur et la déception puissent conduire à la diffamation et au dénigrement .

Je comprends mal en revanche qu’elle précipite une homme qui se dit d’ouverture dans les rangs de l’exclusion et du Front National «

 

Pierre Parrat