Pour limiter les risques de propagation du coronavirus, il est désormais interdit de danser dans les bars et les “établissements recevant du public”, ainsi que dans les lieux publics, “couverts ou non”, de l’Hérault, en vertu d’un arrêté préfectoral. Le département a été placé jeudi 27 août en “zone de circulation active” du COVID-19

 

Trop c’est trop ! Voyons si après le mois sans tabac nous aurons enfin la semaine mondiale sans COVID ? Jusqu’où vont être poussées les interdictions et obligations ? Nous en sommes même arrivés à stigmatiser nos jeunes qui en ont déjà bien souffert dans leurs études et quotidien.

Cette gestion du COVID commence sérieusement à agacer une partie de la population réfléchie. Ce virus fait l’objet de toutes les manipulations d’experts « sachants » qui ne savent rien car naviguant à vue depuis huit mois entre le pangolin et la chauve-souris. Il rend visible l’inutilité de nos énarque-politicards devenus paranoïaques ; fait les choux gras des médias qui vivent de sa surinformation ; fait rebondir les pseudo-communicants sur tous les plateaux télé : débattre sans fin, supposer, affirmer… qu’importe les travers pourvu qu’un éclair de reconnaissance vienne satisfaire l’égo.

Cette bulle « coronavirale » fourre-tout va finir par éclater car le bon sens immémorial finit toujours par reprendre ses droits mais que la pente sera rude à remonter, d’autant plus que les grandes firmes pharmaceutiques la savonnent. Actuellement, nous vivons dans une téléréalité “chienlit”, non pas « 68 tarde » mais celle née d’un trop plein de politiquement correct, des laxismes en tout genres et des nouvelles technologies mise à la portée des tarés de plus en plus nombreux. La force et la bêtise prennent peu à peu le dessus sur les valeurs et l’intelligence.

Cette pandémie médiatico-politique détruit doucettement notre société. Il est temps de stopper l’hémorragie des pathos hypocrites : tout le monde meurt un jour, même à 99 ans et pas seulement du virus ; que chacun en prenne conscience et réagisse afin de préserver nos fondations sociétales et identitaires soudées au triptyque Liberté, Egalité, Fraternité.

Porter le masque oui, en devenir idiot non ! Et s’il nous plait de dire le COVID comme des millions d’entre nous, ce n’est pas une poignée de scientifiques rond de cuir qui imposeront la COVID.

A la sortie de l’école, dans les distanciations, Mamie et Papi masqués viendront chercher leurs petits enfants, n’en déplaise à ministre Castex qui ferait mieux de se préoccuper d’une probable révolution contre les excès de zèles covidiens et une insécurité grandissante.

Méfiance, nous sommes aux bords du gouffre…

Freddy Rabasse