Bien sûr IL va vraisemblablement trouver des excuses et des boucs émissaires, mais la réalité sera peut-être ailleurs !… Quelles sont les pressions qui ont fait que le Premier magistrat de Port Vendres* a jeté l’éponge, sur le projet du Pont de L’Amour et de ses soixante-dix maisons ?
Le maire de Port-Vendres a dû sentir le coup d’Est venir et, avec lui, la découverte de la supercherie : le Premier magistrat, avant même les recours lancés sur le déroulé de l’opération du Pont de l’Amour, sur le PLU**  – et peut-être aussi suite à mes différentes interventions argumentées sur ma page Facebook (“Vivre à Port-Vendres”) –, a décidé de mettre fin au mirobolant projet (…).

En particulier, évidemment, à propos de la vente en premier lieu du terrain du Pont de l’Amour, et le rachat de celui-ci après l’avoir rendu constructible, puis le choix de la société NUMAA dont j’avais soulevé une certaine problématique, avec : un capital, un chiffre d’affaires et une opération, semble-t-il inappropriés au regard de la dimension finale de l’urbanisation envisagée.
En dehors de l’étonnante posture de la Municipalité de Port-Vendres, la question à se poser maintenant est : comment seront financés les travaux de la place Castellane, avec l’incohérence des options ?
Mais reste aussi et encore un dossier à éclaircir : celui des travaux de la Maison France Services.

Guy Torreilles, citoyen de Port-Vendres 

 

*Grégory Marty, maire de Port-Vendres

**PLU = Plan Local d’Urbanisme.